Vous possédez un manuscrit et vous aimeriez le publier mais vous ne connaissez pas précisément la marche à suivre. Voici quelques conseils sur la façon de procéder pour mettre toutes les chances de votre côté. J’ai choisi d’en parler sur mon blog parce que c’est une question que les visiteurs du marronnier rouge me posent fréquemment.
Pour se faire éditer, les places sont très chères. Il y a beaucoup de candidats mais très peu d’élus. Les éditeurs reçoivent des dizaines, voire des centaines de manuscrits par mois pour les plus grandes maisons comme Hachette, Actes Sud, Fayard, Albin Michel, Robert Laffont et beaucoup d’autres encore …
Mais tout reste possible à condition de respecter certaines règles :
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N’envoyez pas votre manuscrit au hasard.
Sélectionnez des éditeurs en fonction du genre de livres qu’ils publient. Si besoin, parcourez les rayons d’une librairie ou inscrivez-vous dans une bibliothèque. Il faut que votre projet d’écriture corresponde à la ligne éditoriale de l’éditeur qui recevra votre manuscrit. Par exemple, il ne servirait à rien d’envoyer un roman policier à un éditeur spécialisé dans les guides touristiques. Ce serait dommage car vous seriez deux à perdre votre temps, vous et l’éditeur !
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N’envoyez pas de manuscrit écrit à la main.
Il faut que votre document soit saisi sur ordinateur, à l’aide d’un traitement de texte. C’est ce qu’on appelle un « tapuscrit ».
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Préférez le format A4 (21X29, 7cm) pour votre manuscrit.
Aérez votre texte, n’hésitez pas à laisser des espaces entre vos paragraphes et même entre vos lignes avec par exemple un interligne de 1,5. Pour le lecteur de la maison d’édition, votre document sera plus agréable à lire et il pourra plus facilement l’annoter en cas de besoin. Imprimez-le et faites-le relier en thermocollé ou avec des spirales. N’oubliez pas de mettre vos coordonnées sur la première page.
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N’envoyez pas votre manuscrit imprimé sous la forme d’un livre.
L’éditeur aura plus de difficultés pour le parcourir et l’annoter et vous lui donnerez le sentiment d’avoir brûlé les étapes.
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Ne vous contentez pas d’envoyer un résumé ou des extraits de votre manuscrit sauf si c’est une exigence de l’éditeur.
L’envoi d’un simple synopsis au lieu du manuscrit dans sa totalité se pratique davantage aux États-Unis qu’en France.
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Joignez au manuscrit une lettre d’accompagnement.
Mais gardez-vous bien d’y raconter votre vie ou de faire comprendre que votre manuscrit est un chef-d’œuvre. Si c’est le cas, l’éditeur préférera le constater par lui-même. Considérez cette lettre juste comme une formule de politesse pour introduire votre manuscrit. Plus elle sera sobre et mieux ce sera.
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N’envoyez pas votre manuscrit par mail, il ne serait pas lu.
Il existe cependant quelques exceptions : certains éditeurs en ligne préfèrent recevoir les manuscrits par internet. Mieux vaut se renseigner avant.
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Envoyez votre manuscrit par la poste
Après avoir bien pris soin de vous faire confirmer l’adresse de l’éditeur par un simple coup de fil par exemple. Certaines maisons d’édition changent souvent d’adresse.
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Si vous n’avez pas de nom précis, adressez votre manuscrit au « service des manuscrits »
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N’hésitez pas à envoyer votre manuscrit à plusieurs éditeurs à la fois.
Ainsi, vous gagnerez du temps car le temps d’attente pour avoir une réponse d’un éditeur est souvent très long : de 3 à 6 mois.
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Joignez à votre envoi une grande enveloppe timbrée pour le retour de votre manuscrit par la poste en cas de non acceptation.
Devant le nombre de manuscrits qu’ils reçoivent, les éditeurs prennent rarement en charge le retour à l’expéditeur. Dans le cas contraire et si vous ne donnez pas signe de vie, votre manuscrit sera détruit.
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Ne relancez pas l’éditeur tous les quatre matins, cela n’avancerait à rien et il pourrait perdre patience.
Enfin et surtout :
Ne vous découragez pas, on ne gagne pas à tous les coups et vous devrez peut-être remettre plusieurs fois le fer au feu. De grands romanciers comme Proust ont essuyé de nombreux revers avant de trouver un éditeur et un certain nombre d’auteurs aujourd’hui très connus se sont faits publier en envoyant un manuscrit par la poste. Si vous possédez un vrai talent, il finira par être reconnu !
Patrick du Boisbaudry
Excellents conseils, véridiques et astucieux. Merci!
Merci beaucoup Elsa pour cette appréciation et pour votre visite sur mon blog!
Patrick
Bonjour Patrick, depuis un moment je souhaite écrire une biographie, ma biographie, j’ai 26 ans et malgré mon jeune âge mon petit début de vie fut bien remplie. J’aime énormément lire (que des histoires vraies bien sûr) mais comment peut-on faire ou vers qui je dois aller pour me faire corriger? Et surtout quand on envoie le manuscrit c’est en totale confiance vis à vis de l’éditeur? Car qui me dit qu’il me le volera pas? C’est la première fois que je survole ces genres de sites j’espère que vous allez encore sur vôtre blog et dans se cas je vous remercie d’avoir prit du temps pour me lire. Jessie.
Bonjour
mon premier roman est enfin terminé. Je le présente à divers concours et cherche en parallèle, à défaut d’un éditeur, un avis sincère. Comment pouvons -nous prendre contact ?
Cordialement
bonjour , j’ai un manuscrit que j’aimerais faire éditer , j’attends votre réponse merci .Akziz Mouhoub , algérie
Bonjour,
J’écris actuellement un roman dont le manuscrit devrait être terminé pour fin mars.
C’est la première fois que je me lance dans l’écriture d’un livre. Jusqu’à maintenant, j’avais écrit quelques articles pour Gazelle Mag et sur mong blog AnneFrederique.over-blog.com. L’écriture est vraiment une deuxième nature pour moi et c’est pourquoi je souhaite publier. Pouvez-vous me dire comment vous faire parvenir mon manuscrit ou plutôt tatuscrit quand je l’aurai terminé, revu, relu et corrigé ! Je vous remercie d’avance de l’attention que vous porterez à ma requête.
Cordialement.
Frédérique Yacout
Bonjour, publiez vous des livres pour la jeunesse?
Bonjours, j’ai lu votre message, et je suis intéressée. Pour tout vous dire, je suis mineur et je n’ai pas vraiment d’expérience, mais en réalité c’est un immense projet de faire éditer un jour mon histoire. Je voulais tout de même savoir, est ce qu’il est payant d’éditer une histoire?
Bonjour,
Quel style d’ouvrages recherchez vous ?
Est ce qu’un livre de nouvelles vous intéresserait ?
Merci d’avance
Cordialement
Vous n’avez mis aucun contact ou M’ont pourrait vous joindre ,éditrice indépendante.
Bonjour,
je représente une personne qui a déjà beaucoup écrit mais sans jamais sauter le pas de l’édition.
Pouvons-nous entrer en contact?
Cordialement
Bonjour
Madame Chabbal m’a communiqué son adresse mail pour que vous puissiez la contacter directement. Ecrivez-moi à l’adresse suivante :
[email protected]
ou
[email protected]
et je vous communiquerai son mail.
Je viens de finir mon livre RETOUR DE L’AU DELÀ, car en effet je viens d’en revenir! Suite à l’exérèse d’un cancer une opération très compliquée. Et je viens d’envoyer mon manuscrit aux Editions Albin Michel, qu’en pensez vous? Est ce que les mémoires font partie de leur ligne éditoriale? Vous serait-il possible de me conseiller un autre éditeur? Merci infiniment pour tous vos conseils.
Bonjour Najet
Aujourd’hui de nombreux éditeurs s’intéressent à la publication de témoignages comme le vôtre. Il m’est difficile de vous donner des noms en particulier, je vous conseille d’aller sur le site des éditeurs (ils en ont tous un aujourd’hui), vous verrez ainsi le genre d’ouvrages qu’ils publient. Vous pouvez également vous rendre sur Amazon à la recherche de témoignages proches du vôtre et noter le nom des éditeurs.
Patrick
Patrick, j’ai la même préoccupation que Jessie, qu’est-ce qui me mettra en confiance que mes idées ne seraient pas publiées après que l’éditeur ait fais semblant de les rejeter.
Bonjour Patrick
Le mieux est de faire confiance, sinon on ne fait plus rien; cependant je comprends parfaitement vos inquiétudes.
Dans ce cas, cet article vous donnera des informations sur la façon de protéger votre œuvre. Bonne lecture.
Patrick
Oh,jeune âge ?
Je n’ai que 11 ans, pourtant, je veux ( et je vais) publier !
L’âge ne veut rien dire.
Ensuite, pour la biographie, sert toi de ton passeport, et de tes passions : j’aime lire, je suis anglaise ..
Bonjour Jessy,
Je sais que votre post a été envoyé en 2015 et que nous sommes présentement en 2018, mais ma réponse aidera certainement d’autres personnes qui se posent les mêmes questions que vous.
Dès que votre livre est écrit, vous l’imprimez et vous le mettez dans un paquet bien fermé par du papier gommé. Ensuite vous allez à la poste et vous faites un envoie par courrier enregistré à votre propre nom.
Lorsque ce paquet vous sera livrer, vous aurez a signer pour le récupérer. Vous gardez précieusement ce colis SANS L’OUVRIR, JAMAIS.
Ainsi, si un jour quelqu’un vole votre oeuvre, vous aurez une preuve physique que ce livre a été écrit par vous, à une date antérieure. Preuve a l’appuis par la date de l’expédition et votre signature. Il faut bien sûr que le paquet n’ait jamais été ouvert, ce qui prouve que vous n’avez pas pus mettre son contenue à l’intérieur à une date ultérieure à celle de l’expédition.
J’espère que ceci pourra aider Jessy ainsi que d’autres auteurs qui se posaient également cette même question.
Bonjour Patrick
je viens tomber sur votre site, qui m’a donner plusieurs pistes et je vous en remercie
Cordialement
Lahouari MILOUDI
Bienvenue Miloudi !
Patrick
Bonjour Monsieur,
Je vous remerçie pour vos conseils instructifs . Je souhaiterai savoir si il est préférable d’écrire ou de taper à l’ordinateur sa lettre de présentation ?
Merci par avance.
Cordialement
Bonjour,
pour ma part, je trouve préférable d’écrire une lettre de présentation manuscrite, car c’est plus personnel. Mais tout le monde ne partage pas cet avis; certains préfèrent, à l’heure de l’informatique et d’internet, envoyer une lettre tapée à l’ordinateur. A vous de voir ce que vous sentez le mieux !
Patrick
Bonjour, d’abord je tiens à vous remerciez de cette initiative (d’avoir créer se site) ainsi l’intérêt que vous portez au public. J’aime l’écriture et je me sens à l’aise en m’exprimant en jouant avec les mots. Dernièrement, l’idée de pouvoir partager mes textes au public me passe sans arrêt seulement, moi qui est tout nouveau par ou vais-je débuter. Encore une fois merci de vos éclaircissement.
Bonjour Mohamed,
je n’ai pas trop compris votre demande. Avez-vous déjà écrit ? C’est la première chose à faire avant de partager avec un public. Je peux seulement vous dire que vous trouverez de nombreux conseils sur mon blog tant pour l’écriture que pour la publication.Bonne navigation.
Patrick
Bonjour Patrick,
Je suis âgée de 15 ans et depuis l’an j’écrit mon autobiographie. J’ai eu une grosse maladie qu’au jour d’aujourd’hui je n’ai plus. J’ai tellement souffert de part à cause des médicaments etc… Mais aussi des moqueries et rejets à l’école. Ma maladie à durée 8 ans. Aujourd’hui j’ai changée, évoluée etc…
Si j’écrit ce livre c’est dans plusieurs buts:
– Soutenir les personnes atteintes d’une quelconque maladie etc…
-Donner une leçon à toutes ces personnes qui m’ont fait souffert mais aussi à toute autre personne ne l’ayant pas forcément mis en oeuvre sur moi.
– je le fais aussi pour me vider l’esprit.
-Mais aussi bien-sûr pour remercier ces rares personnes qui ultérieurement m’ont soutenues…
Sauveur, coupable, victime tout le monde est visé même les gens exterieurs…
Que me conseillez-vous de faire? Combien de pages?
Vos messages m’ont été précieux.Merci.
J’espère que vous regardez encore votre blog,
Cordialement,
C.
Bonjour Camille
Oui, je regarde encore mon blog, heureusement ( sourire) !
Je trouve votre projet intéressant, notamment en raison des différents messages que vous souhaitez faire passer. Vous semblez très motivée suite à la malheureuse expérience qui a été la vôtre, n’est-ce pas l’essentiel !
Sachez que la qualité d’un livre n’a rien à voir avec le nombre de pages. Matin brun, nouvelle écrite par Franck Pavloff en 1998 est toujours en tête des gondoles dans les librairies : or il n’a que 15 pages !
Patrick
Je sais bien je le travaille actuellement en cours.
En tout merci pour cette réponse et pour vos encouragements!
C.
La correction de votre texte.
Je tiens d’abord à vous remercier pour cette initiative (d’avoir crée ce site)ainsi de l’intérêt que vous apporter au public.
j’aime écrire et je suis à l’aise en alignant les mots.
Ces derniers temps, l’idée décrire me passe souvent par l’esprit, seulement moi qui suis encore débutant dans le domaine j’ignore par ou commencer.
Merci une autre fois pour vos éclaircissements.
Bonjour Morad
Par où commencer ? C’est une question qu’on me pose en effet très souvent. Dans ce cas, je conseille de ne pas trop réfléchir. Car plus on réfléchit et moins on agit. Vous pourrez lire avec profit, du moins je l’espère, cet article :https://ecrire-un-livre.net/conseils-pour-ecrire/ecrire-un-livre-oui-mais-par-ou-commencer/
Patrick
voilà…111 000 mots, mon roman est terminé!!!
MERCIIIII pour tous ces conseils…
Voilà 111 000 mots, je viens de terminer mon roman (polar et amour) ce soir….en route pour expédier tout ça!
MERCIIIII pour tous ces conseils….Jack.L AMAR
Bonjour Patrick,
Je viens de faire le tour de votre blog et cela m’a permis d’avoir des renseignements mais en même temps un peu d’inquiétude.
Je dois rencontrer un éditeur le 26 juin 2016 pour éventuellement la publication d’un recueil de poèmes mais je n’ai aucune approche dans ce domaine. Je ne sais pas comment présenter mon recueil car tout est manuscrit dans un carnet. Je souhaiterai savoir si ils doivent être tapuscrit ?
J’ai un titre et des illustrations personnelles est ce qu’il ai possible de les utiliser?
Bonjour Nathalie
Il est préférable que votre manuscrit devienne un tapuscrit, autrement dit que votre texte soit saisi sur un ordinateur. Les éditeurs à compte d’éditeur l’exigeront pour examiner votre texte. Quant aux éditeurs à compte d’auteur (les éditeurs « payants ») ils risquent de vous compter cette prestation dans leur proposition : la frappe de votre texte. Je vous conseille également de présenter vos illustrations en même temps que votre texte, d’autant plus qu’elles semblent le compléter.
Patrick
bonjour, un éditeur me demande pour l’édition et la publication la somme de 2500 E; il me reversera 3,40 E sur les 3000 premiers livres vendus. Je trouve cela exagérer, c’est mon 1er livre et jamais je ne vendrai autant d’exemplaires. Comment faire ? Merci pour votre réponse
Bonjour,
Il serait intéressant de savoir quelles prestations l’éditeur à compte d’auteur vous apporte pour la somme de 2500 €. En dehors de l’impression, vous propose-t-il la conception de la couverture, la relecture et correction de votre texte, éventuellement une réécriture partielle ….
Autre question très importante : comment va-t-il diffuser votre livre, quels moyens va-t-il mettre, a-t-il un réseau de distribution …. Le rôle d’un éditeur digne de ce nom, c’est d’assurer la meilleure diffusion possible d’un ouvrage. Par exemple, si votre livre doit rester dans un placard ou sur un bureau, autant le faire imprimer vous-même et le diffuser par vos propres moyens (autoédition).
En espérant avoir répondu à votre question, je vous souhaite de trouver une solution qui vous apportera toute satisfaction.
Patrick
bonjour,
Merci pour ces conseils precieux mais si ne ne voulons pas faire editer le livre a grande echelle seuelement 5 ou 6 exemplaires pour une distribution familiale comment faire ?
Merci
Bonjour,
Si vous souhaitez réaliser seulement quelques exemplaires d’un livre pour la famille ou les amis, il vous suffit de vous adresser à un imprimeur. C’est lui qui fabriquera votre livre avec le nombre d’exemplaires souhaités.
Il faut bien faire la différence entre les deux termes : imprimer (ou éditer) un livre et publier un livre.
– Imprimer un livre c’est fabriquer matériellement un livre.(L’imprimeur est celui qui fabrique les livres)
– Publier ou éditer un livre c’est le diffuser auprès du public. (L’éditeur est celui qui diffuse les livres après les avoir fait imprimés par un imprimeur)
J’espère avoir répondu à votre question. Merci pour votre participation.
A très bientôt,
Patrick
Le mot « Fin » vient d’être écrit!
Je me suis jeté sur Internet pour savoir comment procéder maintenant…et je tombe sur votre Site rempli des bons conseils que nous attendons Tous, nous les écrivains en herbe!
Merci pour toutes vos recommandations de valeur.
Amicalement.
Bonjour,
Merci pour vos compliments, je les accepte avec plaisir.
Je souhaite pour votre livre tout le succès que vous en attendez… et même plus !
Patrick
Bonjour Patrick! Ces derniers temps, je me suis souvent demandée si je proposerai un de mes romans à un éditeurs, vu que mes amis me le proposent sans cesse, et je me suis posé beaucoup de question sur ka manière de se faire publier. Votre site y a répondu. Merci.
Mais juste une question, comment s’assurer que notre livre est bien écris? Le faire lire a des grands littéraires? Je suis jeune (16ans) et mes romans ne sont lu que par mes amis qui n’émettent jamais d’arguments assez objectifs ..
Bonjour Clotilde,
Comment vous assurer que votre livre est bien écrit ? Je ne pense pas que ce serait très utile de le faire lire à de grands littéraires, du moins pas dans un premier temps. Le mieux est de faire lire votre livre à des lecteurs potentiels, à ceux qui correspondent à la cible que vous visez. Je m’explique : Par exemple si votre roman s’adresse plus spécifiquement à des ados, faites-le lire en priorité à des ados. C’est avant tout de leur avis que vous avez besoin dans la mesure où ils constitueront vos futurs lecteurs. Le mieux serait de vous adresser à des amis d’amis qui ne vous connaissent pas. Cela leur permettrait d’être objectif et de ne pas chercher à vous faire plaisir. Je pense également qu’il existe des sites où vous pouvez soumettre la lecture de votre roman aux visiteurs pour avoir leur avis.
http://www.lecteurs.com/
Avant je vous conseille de protéger votre œuvre, notamment si votre idée est très originale.
Autre conseil : vous pouvez vous rendre dans des forums consacrés à la lecture, car certains participants passionnés de lecture ne demandent pas mieux que de lire des romans, à condition bien sûr que ce soit gratuit.
J’espère avoir répondu à vos questions.
Je vous souhaite plein de succès.
Patrick
Ha, merci beaucoup ! Oui, j’ai déjà publié sur le site de lecture academy, quelques extraits d’une autre oeuvre, et apparemment, ils aiment mon style littéraire. Merci d’avoir répondu à mes interrogations.
Excellente journée!
Bonjours,
je suis tombé sur votre site un peu par hasard mais j’en suis très heureux.
Je suis interloqué par votre commentaire : « je vous conseille de protéger votre oeuvre ». Comment faire cela? J’écris en ce moment un livre avec une idée originale et je serais intéressé à savoir comment le protéger.
Bonjour,
je conseille la protection des œuvres surtout en ce qui concerne les romans. Sachez cependant qu’il ne faut pas en faire une obsession car toutes les idées de romans ont déjà été utilisées et ce qui fait la différence d’un auteur à l’autre, c’est la façon qu’il a de raconter. Pour en savoir plus sur la protection d’une œuvre, vous pouvez cliquer sur le lien suivant :
https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/autoedition-quelles-formalites-pour-publier-son-livre/
Je vous souhaite une bonne continuation dans le domaine de l’écriture,
Patrick
Je vous remercie d’avoir répondu à ma question. Surtout qu’il y avait justement la réponse juste en dessous.
Je n’aime pas les absolus. Il ne faut pas oublié que la première idée a pu être inventé, il n’y a pas de raison que l’on ne puisse plus en inventer maintenant.
Si jamais je termine mon livre, vous pourrez le lire et me dire chez qui j’ai pompé ^^
Je trouve vos conseils génial et je vous en remercie. Je suis une nouvelle dans ce domaine et je ne savais pas que ça pouvais être compliquer. Je croyais choisir ma maison d’édition et go, on est partie pour une aventure. Qu’est-ce que vous voulez dire par protéger notre oeuvre?
Bonjour Michelle
Protéger son œuvre, c’est prendre toutes les mesures pour que personne ne la reproduise sans votre accord ou ne s’empare d’une idée originale que vous avez par exemple utilisée dans un roman. En fait protéger son manuscrit, permet de faire obstacle au plagiat. Certains écrivains connus ont été accusés à tort ou à raison de plagiat et ont été parfois condamnés.
Sur les différentes façons de protéger un manuscrit, n’hésitez pas à consulter cet article : https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/autoedition-quelles-formalites-pour-publier-son-livre/
Patrick
Bonjour,
Comment faire pour « protéger son oeuvre » SVP? Merci
Bonjour,
Je vous recommande la lecture de cet article publié sur mon blog et qui parle notamment de la protection d’une œuvre.
https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/autoedition-quelles-formalites-pour-publier-son-livre/
Merci pour votre participation et beaucoup de succès pour votre projet d’écriture.
Patrick
bonjour
Pouvez vous me dire s’il est possible de donner un titre déjà utilisé
merci et bonne journée
Bonjour,
Merci pour votre question. Je pense que la réponse peut intéresser de nombreux lecteurs du blog.
Je conseille donc de vous rendre sur le lien de la Société des Gens de Lettres (SGDL).
http://www.sgdl.org/les-services/la-minute-sgdl/773-la-protection-du-titre
Vous y trouverez des informations précieuses concernant l’utilisation des titres.
Merci pour votre participation,
à bientôt,
Patrick
Bonjour , je commence mon livre et je voulais un peu me renseigner , il faut payer l’éditeur pour qu il publie le livre ( impression … )
Valentine
Bonjour Valentine,
Merci pour votre question, la réponse pourra intéresser de nombreux lecteurs.
Seules les maisons d’édition dite « à compte d’auteur » vous réclameront une certaine somme pour publier votre livre.
Soyez vigilante dans votre choix, car certaines maisons sont plus sérieuses que d’autres.
Les maisons d’édition traditionnelles sont dites « à compte d’éditeur ». Elles ne vous demanderont pas d’argent et vous reverseront des droits d’auteur sur chaque vente de votre ouvrage. Ce sont souvent de grandes maisons d’édition comme Actes Sud, Julliard, Grasset, Gallimard, Belfond, Albin Michel… mais aussi de petits éditeurs peu connus. Seule difficulté : la concurrence est rude. Ces éditeurs reçoivent chaque jour des manuscrits.
Pour compléter ces informations, vous pouvez cliquer sur ce lien : http://www.lemarronnierrouge.com/#/comment-publier-son-livre/4138217
A bientôt et merci pour votre participation.
Bonjour,
Article très intéréssant et captivant néanmoins racontez nous comment vous avez trouvé votre éditeur en ce qui vous concerne, sur quels critères l’avez vous choisit et avez vous des éditeurs ou des maisons d’édition à conseiller à un jeune hauteur de roman.
Merci d’avance et bonne journée
Bonjour,
A mes clients, je conseille le plus souvent les éditeurs à compte d’éditeur ou l’autoédition, mais rarement pour ne pas dire jamais les éditeurs à compte d’auteur.
Difficile de vous conseiller des éditeurs, cela dépend du genre de votre roman. Je vous conseille d’aller dans une librairie ou mieux, une bibliothèque, pour voir le genre de livre que publie tel ou tel éditeur.Ainsi, vous aurez une meilleure idée de sa spécialité et vous verrez si votre ouvrage peut entrer dans une de ses collections et l’intéresser. Vous pouvez également visiter leurs sites internet pour voir quels genres d’ouvrages ils éditent.
Bonne route dans votre projet de roman.
Patrick
Bonjour Patrick
Vos conseils sont très pertinents et pleins de sagesse. Je voulais témoigner ici du parcours du combattant d’un auteur publié à compte d’éditeur depuis… près de quinze ans.
Curieusement, je n’ai jamais eu de problème pour trouver un éditeur – le premier était alsacien, vu que ma saga se déroulait dans ma région natale.
Par contre, j’ai eu des ennuis terrifiants vis-à-vis du paiement de mes droits. Mon tout premier éditeur faisait partie d’une association. Il a été licencié pour avoir détourné de l’argent. Je n’ai évidemment jamais touché de droits sur ce premier livre. Qu’importe, je l’ai réécrit et envoyé aux Editions De Borée à Clermont-Ferrand (compte d’éditeur et très bonne diffusion). Là, j’ai vécu une période faste car l’éditeur m’a toujours tout payé. Dans l’intervalle, j’ai été contactée par un nouvel éditeur régional qui voulait que j’écrive pour lui. Dans ce cas de figure, il doit verser un à-valoir à l’auteur. Ce qu’il a fait. Le livre s’est vendu à 3000 exemplaires rien que dans le Grand Est. Sauf que l’éditeur s’est suicidé, perclu de dettes. Quand je me suis rendue à la vente aux enchères de son stock, j’ai eu un choc : des montagnes de livres invendus, sauf le mien, 50 ex. J’ai donc financé sa maison (avec un autre auteur qui avait bien marché) et tous les autres ont été des fiascos monumentaux. Je n’ai évidemment rien touché en droits d’auteur, hormis la provision de départ, environ 2000 euros.
Cette biographie sera probablement rééditée par un autre éditeur (j’ai le contrat mais rien n’est encore sorti), lequel connaît aussi des difficultés financières. Il avait pourtant insisté pour récupérer les droits de ce livre… Il me doit de l’argent depuis plus d’un an pour la vente d’un pastiche à plus de 2000 ex. Je ne doute pas de son honnêteté, c’est juste que je tire la langue.
Ce n’est que mon impression, mais je trouve que les personnes qui veulent juste avoir un livre papier entre les mains feraient mieux de voir un imprimeur.
Sinon, il faut très bien connaître le milieu de l’édition et le genre dans lequel on écrit pour s’épargner l’épouvante des retours de manuscrits. Un bon auteur est aussi censé être un bon lecteur, hanter les librairies et les bibliothèques. Je suis souvent sidérée par le manque total de culture générale de ceux et celles qui veulent se faire publier. Hormis Gallimard et de quelques autres mammouths, ils ne connaissent personne.
Là, j’ai signé à nouveau chez De Borée pour un droit de préférence de… cinq livres. C’est abusif et l’éditrice le sait, mais il est toujours possible de négocier. Il suffit en fait d’écrire dans un genre différent de celui qui figure sur le contrat d’édition pour publier aussi ailleurs. Je suis contente de retourner dans ma maison fétiche, après trois incursions périlleuses ailleurs, lesquelles ont toutes fini par la faillite des éditeurs, même si mes livres se sont vendus. Il faut vraiment supporter ça et ne jamais baisser les bras. Signer un contrat d’édition est une épreuve redoutable; là, les ennuis ne font que commencer, même si l’éditeur est honnête, qu’il diffuse bien vos livres et vous bichonne (c’est le cas chez De Borée, ils sont très proches de leurs auteurs et gardent le contact avec eux, les invitent à de bons salons, etc.)
Je n’ai pas vraiment de conseil à donner, mais il ne faut pas prendre à la légère l’acte d’écrire et de publier. Pas tout le monde peut supporter la pression, les méventes, les critiques parfois très méchantes de certains médias (ou lecteurs, ça existe), les commentaires odieux de certains recalés de l’édition qui vont jusqu’à me soupçonner de coucher avec mon éditeur (manque de bol, c’est une femme, lol !) ou qui ne supportent pas l’humour, l’imagination, l’enthousiasme qui se dégage de mes livres.
Chacun écrit ce qu’il veut, mais c’est la croix et la bannière pour se faire accepter si on a envie de tourner en dérision la banalité de notre époque ou une nostalgie frelatée pour une époque pas si bonne que ça. Comme l’avait dit mon éditrice : « Vous n’avez pas eu des parents indignes, une psychanalyse de douze ans ni un tonton pédophile pour faire le best-seller d’une saison qui tombera dans les oubliettes six mois plus tard. Dans ce cas, il ne vous reste qu’une chose : le talent ».
Bonjour Christine,
et merci pour ce long témoignage et cet éclairage sur l’édition. Quel parcours !
Cela remet les choses en place, car beaucoup de personnes pensent que la publication d’un ouvrage relève de la simple formalité.
C’est un parcours difficile, mais, tout en ayant conscience des difficultés, il ne faudrait surtout pas que les futurs auteurs se découragent pour autant.La preuve, malgré vos déboires, vous avez bien tiré votre épingle du jeu. Mais il est vrai que la détermination ne suffit pas, il faut aussi un certain talent.
Pour ma part, je pense qu’il faut avant tout frapper à la bonne porte, car il y a éditeur et éditeur. Tout se joue dans la diffusion du livre, sera-t-il bien diffusé ou restera-t-il au fond d’un placard ?
Encore merci pour votre témoignage, c’est l’objectif de ce blog : partager des expériences.
A bientôt,
Patrick
Bonjour Christine.
A la lecture de votre commentaire j’ose espérer que vous ne retranscrivez pas votre mépris à travers vos livres.
De plus, un peu moins de vanité ferait du bien à votre style littéraire si vous écrivez votre biographie un jour.
Ce « talent » comme vous le citez ne nécessite pas forcément d’avoir beaucoup lu. Chacun finit par savoir faire du vélo, mais certains on besoin de moins d’exercice que d’autres pour exceller.
Enfin sachez qu’il existe toutes sorte de livres, nombreux d’entre eux sont intellectuels, d’autres ne le sont pas ou peu. Les auteurs de ces derniers ne méritent pas moins d’estime pour autant, aussi fine soit leur culture générale.
A première vue votre psychanalyse n’a pas pu combler le manque de confiance en vous qui vous fait ici vous introduire vainement comme une battante qui a réussi…
Je ne lit pas beaucoup et pourtant j’écris, que mon style vous plaise ou non, un bon auteur n’est pas forcément celui qui vend. Bien que je ne me soit jamais essayé dans ce domaine.
Lisez J.J. Rousseau, il se pavane aussi beaucoup dans son autobiographie. Voyez-vous, il fait partie du peu de livres que j’ai lu, mais comme vous, il essaye de faire passer un bon passage de sa vie encore meilleur en rappelant d’où il vient comme s’il avait tout vaincu de ses seuls bras, illuminant sa maigre victoire, ainsi transformée en triomphe pour l’humanité.
Au plaisir de lire votre réponse
Un auteur jamais édité, jamais lu, avec un manque total de culture générale.
Bonjour Patrick
Merci pour votre réponse, j’avais juste besoin de parler de ça parce que certains jours, je ne sais vraiment plus à quel saint me vouer ! J’ai beau adorer ce que je fais, mettre tout mon coeur et mon enthousiasme dans mes écrits, j’ai parfois l’impression de me trouver face à une machine sans âme qui me broie mon esprit d’initiative.
Un exemple qui va sans doute horrifier les aspirants écrivains, mais ils doivent ouvrir les yeux sur la réalité de l’édition :
J’ai obtenu en 2010 un prix régional pour une bio; je n’avais rien demandé, je connaissais cette association littéraire mais n’avais jamais eu envie d’en faire partie. Et là, mon éditeur de l’époque m’avait dit que je faisais partie des sélectionnés pour le prix. Je touchais 600 euros (une goutte d’eau dans la mer, mais c’est sympa…) ainsi qu’une mention du prix sur la réédition du livre. Quelques temps après cet événement, j’ai eu droit à un coup de fil alarmé de l’éditeur. Le président du jury m’avait fait donner le prix non pas pour la qualité littéraire de mon oeuvre mais parce qu’à l’époque je travaillais comme correspondante pour un journal local et que le monsieur, par ailleur auteur de récits nombrilistes à compte d’auteur, voulait que je lui fasse de la pub pour son brouet (je tenais en effet une Vie Littéraire, laquelle m’a créé des soucis sans fin !). Voilà à quoi peut parfois tenir une notoriété, aussi modeste soit-elle: à votre statut, à vos relations, à votre habilité à brosser les z’auteurs dans le sens du poil. A votre talent ? Jamais ! N’oublions pas que nous sommes en France, pays des Droits de l’Homme et de la guillotine qui rase toutes les têtes qui dépassent. Pleurnichez donc, chers auteurs débutants, sur vos parents indignes, sur votre obésité ou votre autisme (mais évitez de préciser que votre QI fait 170, ça la fout mal !), racontez que vous couchez avec Untel très populaire parmi les franchouillards de base et vous ferez peut-être une brève apparition parmi le Top Ten des libraires… le temps d’une saison. Après quoi, on vous jettera comme un mouchoir en papier.
Vous rêvez de participer à de chouettes salons du livre ? Vous voulez être humiliés, c’est ça ? Vous êtes masos ? Pas moi. Je les évite comme la peste. Hormis quelques lecteurs sympathiques (il y en a partout, heureusement), c’est le défilé des aigris, des recalés de l’édition, des comptes d’auteur qui vous accusent d’avoir triché, menti, plagié, couché et autres – liste non exhaustive, quand ils ne vous collent pas une crotte de nez dans le bouquin du haut de la pile pendant que vous avez le dos tourné parce que la charmante libraire vous offre un café…
Si d’aventure j’ai la chance d’atteindre un âge respectable, j’écrirai mes mémoires, c’est promis. Ce sera drôle, mais vous rirez en vous mouchant le nez. Je n’aime pas les mélodrames.
Bon courage ! :))
Bonjour
Dans vos commentaires vous ne donner pas l’impression d’aimer ce que vous faite…c’est une chose d’expliquer votre histoire et s’en est une autre de critiquer la vie « d’écrivain ».
cher Christine,
je n’ai pu m’empêcher de souris en te lisant. je vois bien que tu as du temps et cela se reflète même dans ta façon de partager ton histoire et je suis sur que tes mémoires seront à coup sûr de de bons livres.
A Patrick, je le remercie de nous aider à mieux comprendre ce qui nous attend.
je suis cinéaste sénégalais et je travaille sur un projet de film qui doit également faire l’objet d’un roman. il y’a plus de 2 ans, j’ai fait des recherches et suis tombé sur une maison d’édition qui me semblait bien et j’ai envoyé mon « tapuscrit » par mail. quelques 3 semaines plus tard, ils m’envoient une réponse pour me dire qu’ils vont publier mon roman moyennant 2800 Euros avec en détails les dépenses… j’étais un peu tenté de la faire à l’époque (même si cela me semblait un peu cher) car je pensais déjà à la célébrité et à ce que cela allait me rapporter. c’est par la suite que j’ai su que c’était une maison d’édition à compte d’auteur. Avec le recul, j’ai compris qu’on roman c’est avant tout une histoire qui accroche, un style assez original… si tu as une belle histoire qui donne plaisir à lire, on trouve surement une bonne maison d’édition pour te publier et faire la promotion de ton roman. Donc il ne faut pas qu’on soit pressé de publier pour que notre livre se retrouve dans les tiroirs ensuite.
merci encore pour vos conseils avisés
cordialement
Ibrahima
Qu’est-ce qu’il ne faut pas lire…
Ma chère Christine : pourquoi ne pas simplement écrire pour vous et vos proches sans éditer si vous méprisez tant le milieu ?
Mais bravo encore vous avez tellement bien réussi !! -_- Ironie…
Merci
J »écris essentiellement des nouvelles pour enfants. J’ai également un roman -pour enfants/ados de côté mais je ne sais pas où me faire publier.
J’ai envoyé une nouvelle à une édition gratuite (Edilivre) -je suis demandeur d’emploi et ne puis me faire éditer par un grand éditeur), signer un contrat.
La lecture m’a amené à écrire, cela fait déjà huit ans.
Y a t-il d’autres éditeurs ?
Bonjour Françoise,
En effet ce n’est pas toujours facile de trouver un éditeur. Je ne connais pas bien Edilivre, mais c’est peut-être une bonne solution pour vous faire connaître au départ. A condition toutefois de ne pas en attendre des miracles; sans vouloir vous décourager, il est très difficile de vivre de sa plume. Les écrivains qui y parviennent en France sont très peu nombreux.D’autre part ce n’est pas parce que vous êtes demandeur d’emploi que vous ne pouvez pas vous faire publier par un grand éditeur comme vous semblez le penser. Heureusement, cela n’a rien à voir.
Rendez vous dans une bibliothèque ou une librairie et notez le nom des éditeurs qui publient le genre de livres que vous écrivez. Ensuite appelez-les pour vérifier que leur adresse est toujours la bonne et pour savoir s’ils souhaitent recevoir votre manuscrit par la poste ou par mail. Surtout, ne vous découragez pas, tout reste possible. Tenez-nous au courant. Je vous souhaite un grand succès dans vos démarches. A bientôt.
Patrick
Bonjour, tout d’abord merci pour votre réponse.
Après avoir effectué quelques recherches et contacter bon nombre de maisons d’éditions, j’ai enfin trouvé mon bonheur chez 7ecrit (site web: http://www.7ecrit.com).
Ils ont tout de suite accroché à mon style d’écriture et le fait que je sois débutant n’a dérangé en aucun cas.
Ils ont pour vocation principale de publier les premiers ouvrage des nouveaux auteurs, de permettre au grand public de les découvrir.
C’est ce qui m’a le plus encouragé à prendre contact avec eux dans un premier temps puis m’engager avec dans un second temps.
L’avantage est également qu’ils n’ont pas de ligne éditoriale stricte, ils acceptent tout types d’écriture tant que ça leur plait.
De plus ils publient autant au format livre qu’au format numérique adapté aux eBook, Kindle et autres liseuses numériques. Aujourd’hui c’est un point fort étant donné que les habitudes littéraires des lecteurs changent et que beaucoup préfère les eBook.
Merci beaucoup pour votre soutien et je vous conseille de jeter un oeil sur cette maison d’édition qui pour moi fut une vraie révélation.
Bonjour,
merci de partager cette information avec nos lecteurs.
Je suis ravi pour vous si vous avez trouvé un éditeur qui réponde entièrement à vos besoins.
Mais pouvez-vous nous en dire plus sur cette maison d’édition :
Est-ce une maison d’édition traditionnelle qui prend totalement en charge la fabrication et la diffusion de votre livre et vous rémunère en droits d’auteur
ou bien est-ce un éditeur à compte d’auteur qui vend ses prestations pour fabriquer et diffuser votre livre ?
C’est, me semble-t-il, une question importante pour faire un choix éclairé.
Merci encore pour votre participation,
A bientôt,
Patrick
Bonjour, je trouve ce site très intéressant et cela me donne réellement envie de réaliser un manuscrit. J’avais tout de même quelques petites questions pour m’éclairer:
Si j’ai bien compris, lorsque j’envoie mon manuscrit à une maison d’éditeur à compte d’éditeur, l’éditeur s’occupe de protéger mon livre par les droits d’auteur, de créer un numéro ISBN, de remplir les obligations légales, d’éditer le livre… ? Je n’aurai donc rien d’autre à gérer ?
Si plusieurs maisons d’édition me recontactent au sujet de mon manuscrit, comment dois-je faire ?
Bien cordialement.
Bonjour Mélia,
Oui, l’éditeur à compte d’éditeur s’occupe de tout : protection de votre œuvre, demande de numéro ISBN, obligations légales, etc.
Bien entendu, il s’occupe aussi de concevoir la couverture, de faire fabriquer votre livre, de le promouvoir et de le diffuser.
En revanche, il vous demandera peut-être de sacrifier quelques passages, ou de les réécrire.Il pourra aussi vous demander de changer de titre, etc.
Si plusieurs maisons d’édition vous contactent, dîtes oui à toutes dans un premier temps. Rencontrez-les et discutez avec elles en étudiant bien le contrat qu’elles vous proposent.
Vous pouvez vous décidez en fonction d’offres concrètes qui vous seront faites, mais aussi en fonction du feeling que vous aurez avec tel ou tel éditeur. Les relations entre un éditeur et ses auteurs sont assez souvent d’ordre affectif.
Voilà, j’espère avoir répondu à vos questions.
Prochainement, je sortirai une formation qui vous donnera toutes les clés pour publier votre livre de la meilleure façon possible. J’y travaille actuellement.
Merci pour votre participation et bonne chance à votre manuscrit.
Patrick
Merci beaucoup pour votre réponse rapide et très claire. Je serai vers qui me tourner pour avoir de plus amples conseils. Votre formation pourrai m’intéresser dans un futur proche. Bien Cordialement.
Bonjour,
Votre site est très intéressant et vos réponses toujours encourageantes.
Comme tout le monde, j’aimerais être éditée mais je ne rêve pas… Connaissez vous publibook ou édilivre? Ils prennent à priori beaucoup de choses en charge mais après???Merci d’avance
Bonjour Marina,
Comme vous avez raison de poser la question « certains éditeurs prennent tout en charge, mais après ? » Et oui, rien ne sert d’être édité si votre livre reste dormir au fin fond d’un placard. Comme vous l’avez bien compris, se faire éditer n’est pas une fin en soi, il y a l’après. Comment fera-t-on connaître votre ouvrage ? Comment sera-t-il diffusé ?
Pour répondre à vos questions plus précisément , je ne connais Publibook que de nom, je ne peux donc rien vous en dire. Peut-être des lecteurs connaissent bien cet éditeur et pourront vous renseigner.
Edilivre peut publier gratuitement votre livre après soumission de votre manuscrit à un comité de lecture. Leurs conditions ont le mérite d’être claires, mais il faut savoir que ce sera à vous d’assurer vous-même la promotion de votre livre, même s’ils vous fournissent quelques outils pour cela. Sinon, votre livre ne se vendra pas ou très peu. Vous serez rémunérée en droits d’auteur. Si vous avez du temps et une grande motivation, vous pouvez également vous tourner vers l’autoédition.
A bientôt,
Patrick
Merci beaucoup pour votre réponse. Vous confirmez mes craintes… En gros, LA solution est de se faire éditer à compte d’éditeur mais cela n’ayant aucune chance de se produire…Reste à se rabattre sur ce genre d’éditeurs, histoire de transformer son travail en objet…En tout cas, merci pour vos précieuses infos!
Bonjour Marina,
loin de moi l’idée de confirmer vos craintes. Sans doute me suis-je mal exprimé dans ma réponse à votre premier message.
Ne vous découragez pas, des auteurs connus aujourd’hui se sont fait publiés pour la première fois en envoyant leur manuscrit par la poste à un éditeur à compte d’éditeur. Ils étaient alors de simples anonymes. Tentez vous aussi votre chance, cela vaut la peine. Sinon, je crois beaucoup en l’autoédition, c’est pour moi l’édition de l’avenir, notamment avec le développement du numérique et de l’internet.
Lancez-vous, l’avenir vous appartient et tenez-nous au courant de votre parcours auprès des éditeurs.
Patrick
Ps : Pour tous ceux que cela intéresse, je sortirai dans quelques jours, à un prix très compétitif, un guide complet avec des videos et un livre numérique sur la meilleure façon de trouver un éditeur.
Bonjour,
Je crois qu’avant de vouloir se faire éditer, les auteurs devraient comprendre ce qu’aiment les lecteurs visés. Écrire sans connaître qui pourrait être intéresser à notre livre n’est pas une bonne stratégie.
Pour la publication, pourquoi ne pas avoir son propre site web et bâtir votre audience en fonction d’un livre ?
Bonjour,
ce serait en effet la stratégie idéale mais pour la mettre en place, il faut maîtriser un certain nombre de paramètres et les auteurs ne son pas tous sensés posséder des connaissances en marketing.
Mais c’est une très bonne idée à exploiter.
Merci pour ces conseils.
Patrick
Merci Patrick.
Il est vrai que beaucoup d’auteurs n’ont pas de connaissance en marketing. Probablement est-ce la raison pourquoi ils demeurent inconnus. Donc, quel auteur voudrait être connu et apprendre le marketing web ? La solution est dans cette question et sans action, alors rien ne se produit.
Cher Patrick
Je suis en train d’écrire un roman et je veux le publier. Mais j’ai plusieurs questions. Tout d’abord, est-ce que tout les éditeurs demandent des roman sur base régulière, comme un par an? Deuxièmement, comment faisons-nous pour séparer les revenues (X% pour l’illustrateur,etc.). Et finalement, comment nous faisons-nous payer?
P.S. J’ai 16 ans.
P.P.S. Sans vouloir vous vexer, pourquoi écrivez-vous votre nom à le fin de vos messages, alors qu’il est écrit au-dessus?
Bonjour,
J’imagine que dans votre message, vous faites uniquement allusion aux éditeurs à compte d’éditeurs.
1) Tous les éditeurs n’exigent pas que vous écriviez un roman par an. Bien sûr, si vous deveniez une auteure à succès, ils s’empresseraient de vous solliciter, mais sans pour autant vous obliger. Excepté, si vous signez un contrat avec un éditeur où figure la commande d’un livre tous les ans. Mais dans ce cas, vous le feriez en toute connaissance de cause.
2) En tant qu’auteure, vous recevrez un pourcentage sur le prix de vente de votre ouvrage pour chaque vente qui correspondra au droit d’auteur. Il tourne généralement autour de 7 à 10 % (parfois moins, parfois plus, cela dépend de l’éditeur et de la notoriété de l’auteur). Je ne connais pas le pourcentage qui revient à l’illustrateur.
3)Vous serez payée une fois par an directement par l’éditeur. Ce sont les droits d’auteur.
Je vous souhaite une bonne route dans le monde de la publication.Merci pour votre participation.
Patrick
PS : je signe toujours mes articles par principe. Le nom qui figure en haut de mes articles est mis automatiquement sans que j’intervienne. Je ne pense pas que cela nuise à la lecture (sourire).
J’ai une autre question, doit-on payer de l’impôt sur la paye que l’on reçois une fois par an sur les droits d’auteur?
Bonjour,
En application de l’article 17 de la loi de finances rectificative pour 2011, les auteurs d’œuvres de l’esprit relevant de l’article L.112-2 du code de la propriété intellectuelle sont désormais soumis de plein droit à l’impôt sur le revenu selon les règles prévues en matière de traitements et salaires.
Ils peuvent toutefois, sous conditions, relever du régime des bénéfices non commerciaux.
Vous trouverez également une brochure à télécharger gratuitement sur le sujet en cliquant sur le lien ci-dessous :
http://www.lemotif.fr/fr/ressources-professionnelles/guides-et-brochures/comment-declarer-ses-droits-d-auteur/
Espérant avoir répondu à votre question, je vous dis à bientôt.
Patrick
Bonjour,
Cela fait plus de trois ans que j’écris à compte personnel, il m’arrive de me faire lire par des amies et il m’est arrivé d’avoir des compliments de la part de mes professeurs de français sur mes écrits (même si je n’ai jamais fait L au lycée). Bref du coup j’ai développé le rêve assez fou d’écrire un livre et de me faire publier au moins une fois dans ma vie. Cependant j’ai quelques questions :
– Est-ce qu’être jeune (20 ans) et sans aucune expérience/études dans le domaine littérature nuit gravement à mes chances d’être publié ? (J’imagine qu’être publié est un parcours du combattant donc j’appréhende beaucoup)
– Est-ce qu’il y a un nombre minimum de pages à remplir ? C’est-à-dire est-ce qu’il y a des risques que les histoires soient trop courtes pour être transformer en bouquins ?
– C’est compliqué de protéger ses œuvres ? Est-ce qu’on est obligé de le faire soit-même ou c’est à la maison d’éditeur de le faire ?
Merci d’avance
Bonjour Isabella,
je vais essayer de répondre à votre long message.
1- rassurez-vous il n’y a pas d’âge pour écrire et devenir un auteur célèbre. Françoise Sagan a publié « Bonjour Tristesse » à 19 ans et Nina Berberova, écrivaine d’origine russe, s’est fait connaître à l’âge de 84 ans en publiant « l’accompagnatrice ».
2- oui, il faut un minimum de pages à moins que vous publiiez des nouvelles. Mais dans ce dernier cas, il vous faudra écrire plusieurs nouvelles pour faire un livre. Quant au nombre de pages nécessaires pour faire un livre, cela dépend de l’éditeur et de ses collections.
3- pour protéger une œuvre, je vous conseille de vous reporter à l’article suivant : https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/autoedition-quelles-formalites-pour-publier-son-livre/
Je vous souhaite un beau projet d’écriture,
Patrick
Bjr. Je réside en Afrique et j‘aimerais me faire publier à l‘étranger. Vous serez gentil de m‘eclairer sur la démarche à suivre. dois~je simplement envoyer mon manuscrit ou y a~t~il des précautions à prendre comme protéger le manuscrit. Merci
Bonjour,
que vous soyez en Afrique ou sur un autre continent, les démarches sont identiques.
Si vous souhaitez protéger votre œuvre, consultez cet article pour avoir des conseils sur la marche à suivre :
https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/autoedition-quelles-formalites-pour-publier-son-livre/
Je vous souhaite plein de succès.
Patrick
Bonjour,
Je suis en traine de rédiger une histoire. En fait, je suis passionnée de lecture et souhaite publier un livre à mon tour. Je travaille pour une société de pré-presse et nous faisons de la sous-traitance pour de grandes maisons d’édition comme Fayard, Le Livre de Poche, Acte Sud, Dunod, Calamn Lévy,… Je suis metteur en page depuis 5 ans.
Mon but est alors de faire le montage de mon livre, j’ai déjà un relecteur français, j’ai tous les outils et les compétences pour la composition d’un livre. Cependant, je ne sais pas quels seront les étapes que je devrai suivre après, chez l’imprimeur ou chez une maison d’édition ? Comment dois-je procéder ? vers qui me tourner ? Qui pourrai m’aider dans toutes ces démarches ?
Merci pour votre réponse.
Bonjour Muriel,
merci pour votre long message. Je vois que vous avez déjà presque tout prévu, reste le moment de la fabrication et de la diffusion du livre.
Tout dépend du mode de publication que vous choisirez :
1) si vous souhaitez passer par un éditeur, c’est lui qui se chargera d’imprimer votre livre.Vous n’aurez donc pas à contacter d’imprimeur.
2) Si vous choisissez de vous auto-éditer, autrement dit d’éditer vous-même votre propre livre, vous pourrez vous adresser à un imprimeur qui fait de l’impression numérique et qui pourra fabriquer seulement quelques exemplaires de votre ouvrage. Ainsi, sans dépenser trop d’argent, vous pourrez commencer à diffuser votre livre.
Pour en savoir un peu plus, je vous conseille la lecture de ces articles :
https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/autoedition-quelles-formalites-pour-publier-son-livre/
https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/comment-trouver-un-editeur/
Bonne route à vous !
Patrick
bonjour,
merci pour tout vos conseil.
Je souhaiterai demander s’il met possible de proposer mon livre à un éditeur si je l’ai autoéditer?
je vous remercie
cordialement
Bonjour,
oui bien sûr, il est tout à fait possible de proposer votre livre à un éditeur même si vous l’avez déjà auto-édité.
Il vous demandera vraisemblablement de passer uniquement par ses services et donc de mettre fin à votre autoédition.
Certains auteurs qui s’étaient auto-édités en publiant leurs ouvrages sur Amazon se sont fait remarquer par des éditeurs qui leur ont proposé un contrat d’édition. Bien entendu, je parle d’éditeur à compte d’éditeur et non à compte d’auteur.
Bonne réussite dans votre projet.
Patrick
Je viens de terminer mon premier ouvrage, et je me posais des questions quant à sa publication, j’ai trouvé votre sit qui je dois dire est très intéressant et pratique.
J’ai une question pour vous.
Est-il plus intéressant d’utiliser un pseudonyme plutôt que son vrai nom ?
Bonjour Stéphane,
Pour répondre à votre question, tout dépend du contenu de votre récit et de votre désir. Certains auteurs ne souhaitent pas être reconnus pour une question de confidentialité, par exemple parce que leur texte met en cause certaines personnes de leur entourage.
Si ce n’est pas votre cas, autant conserver votre vrai nom. Ce sera une façon de vous faire connaître en tant qu’auteur et si vous avez du succès, ce que je vous souhaite, vous pourrez participer à des émissions de télévision ou de radio en toute transparence.
A bientôt peut-être sur ce blog,
Patrick
Bonjour Patrick,
Je suis actuellement en train de travailler sur un roman de genre fantastique. Mon roman comporte une introduction suivie de quatre histoires indépendantes (courtes, ce que signifie que toutes les histoires se retrouvent dans le même livre). Je voudrais savoir si je dois envoyer à l’éditeur tout le roman en entier, ou simplement une ou deux histoires pour « mettre l’eau à la bouche ». Cela permettrait peut-être à l’éditeur de ne pas perdre son temps si le roman ne lui plait pas, et me permettrait de garder une certaine sécurité quant à l’originalité de l’œuvre.
Je voudrais également votre conseil pour une réponse de l’éditeur. Je suis ce qu’on appelle, un globe-trotter. Je ne reste pas dans les pays plus de quelques mois. Puis-je demander à l’éditeur de me répondre par mail ? Si la réponse se fait attendre entre 3 et 6 mois, je ne serais certainement plus en France.
Enfin et pour finir, je ne souhaite pas divulguer mon vrai nom dans le livre. Dois-je me présenter à l’éditeur sous mon pseudo ou dois-je lui expliquer ceci dans la lettre d’introduction ?
Merci pour vos conseils et pour les réponses. Votre blog est des plus intéressants.
Cordialement
Bonjour Gabriel,
je vais essayer de répondre à vos questions:
1) je vous conseille d’envoyer la totalité de votre manuscrit. L’éditeur ne perdra pas son temps; si votre texte ne retient pas son attention, il le lira en diagonale et le refermera très vite. Les éditeurs ont l’habitude d’évaluer rapidement l’intérêt d’un ouvrage pour leur maison. Si vous craignez un plagiat, protégez votre œuvre avant de l’envoyer.
2) l’éditeur pourra tout à fait communiquer avec vous par mail et donc vous joindre aux quatre coins de la planète.
3) si vous souhaitez écrire votre livre sous un pseudonyme, c’est tout à fait possible. Mais de toute manière, l’éditeur vous demandera votre vrai nom et vos coordonnées, car il sera tenu de les enregistrer afin de vous déclarer.
A bientôt et bonne route.
Patrick
Je ne sais pas à quel éditeur m’adresser , j’ai écrit un livre de gymnastique , sujet peu répandu , j’aimerais savoir si vous savez si ce thème pourrait intéresser un éditeur en particulier .
Merci d’avance .
Bonjour Jeanne,
pour connaître les éditeurs spécialisés dans la publication d’ouvrages sur le sport et notamment sur la gymnastique, je vous conseille de vous rendre dans une librairie ou une bibliothèque et de consulter les différents ouvrages qui traitent de cette activité sportive. Sur les ouvrages, le nom de l’éditeur est toujours mentionné. Autre suggestion, vous pouvez tapez dans la rubrique « recherche » de la librairie virtuelle Amazon le mot « gymnastique » et vous obtiendrez une liste d’ouvrages et donc d’éditeurs.
J’espère avoir répondu à votre question.
Bonne publication.
Patrick
bonjour,
devons nous en priorité, au jour d’aujourd’hui, se préparer à être lu sous forme papier ou bien sous forme électronique?
la question ne rentre pas forcément dans le champs des question précédentes, mais je la pose quand même.
merci pour votre réponse…
Bonjour Benoit.
Selon les chiffres, un peu plus de 3 % du chiffre d’affaire total de l’édition française, contre plus de 20% pour les États-Unis et 12% pour la Grande Bretagne seraient réalisés avec les ouvrages numériques. On annonce même qu’aux États-Unis les ventes de livres numériques auraient dépassé en valeur les ventes de livre papier. Mais si la France se fait tirer l’oreille, on constate sur notre territoire une progression du livre numérique, encore lente, mais certaine. Progression encouragée par la diffusion de nombreuses possibilités de lectures : tablettes, téléphones, etc. Conclusion : même si le livre papier est encore largement prioritaire en France, ne négligez pas le numérique qui monte, qui monte, qui monte …
Espérant avoir répondu à votre question, je vous dis à bientôt.
Patrick
merci pour votre réponse.
une autres question m’envahit: peut on tout a la fois raconter le roman du point de vue du héros mais alterner avec une narration externe. est conseiller.
ex: le début du roman commence en narration externe (car le lecteur ne connait pas encore le héros) et petit a petit, je passe en narration interne.
je pose la question car je n’ai jamais écrit de bouquin. et je n’aimerai pas avoir a la recommencer pour un problème de narration.
merci encore
Bonjour Benoit,
je ne suis pas un spécialiste du roman, mais du récit de vie et des autobiographies. Cependant, je pense que vous pouvez écrire un roman en alternant les points de vue du narrateur et du héros, à condition bien entendu que ce soit dans des chapitres différents. Cela peut donner du rythme et une certaine originalité à votre roman.
Vous trouverez sur internet des blogs consacrés à l’écriture de romans, je pense qu’ils pourront vous être très utiles.
Bonne continuation dans l’écriture!
Patrick
Si j’ai douze ans et que j’écris une histoire d’environ 35 pages, j’ai des chances de me faire publier par une édition ?
Bonjour Zaza,
je pense qu’il n’y a pas d’âge pour écrire. Du moins, c’est mon avis. Cependant pour être publié, si vous n’avez pas la majorité, l’éditeur devra demander l’autorisation à vos parents.
C’est très difficile de dire si vous avez des chances de vous faire éditer, car je ne connais pas vos écrits et même si je les connaissais, je serais bien incapable de répondre à cette question. L’important, c’est de tenter sa chance. Quant au nombre de pages, sachez que MATIN BRUN de Franck Pavloff se vend très bien depuis de nombreuses années et se trouve souvent en bonne position sur les rayons des libraires. Pourtant, il ne fait que 12 pages.
Je vous souhaite plein de succès, mais avant tout beaucoup de plaisir dans l’écriture.
Patrick
Bonjour,
j’ai 15 ans et j’écris un roman fantastique.
Je le fais lire à mes parents et mes amis et ils ne dissent tous de le faire publier quand il sera fini. Cependant je me suis posé la question :
L’éditeur quand il reçoit le livre, le List-il ?
Comment faut-il faire pour favorisé c’est chance de le faire publier ?
Et vers qu’elle éditeur dois-je me tourner ?
Bonjour Chloé,
si les éditeurs devaient lire tous les manuscrits qu’ils recevaient, ils passeraient énormément de temps.
Généralement ils en lisent quelques pages au hasard, ils le feuillettent et si votre texte les accroche, ils prennent le temps de le lire entièrement.
Malheureusement, il n’y a pas de secrets pour se faire publier, il faut tenter sa chance. L’important est de bien sélectionner les éditeurs à qui vous envoyez votre texte. Dans votre cas, passez du temps dans une librairie ou dans une bibliothèque et relevez les noms d’éditeurs qui publient des romans fantastiques.
Bravo pour votre projet, je vous souhaite beaucoup de réussite.
Patrick
Bonjour et … Merci
Votre site est très utile.
J’ai écrit deux romans, tous deux publiés par un éditeur connu « pignon sur rue » s’il vous plaît ! des Alpes Maritimes. Les premiers contacts étaient charmants,l’homme agréable au point de lier des rapports amicaux,mon mari et moi le recevions chez nous.Bien que pour le premier ouvrage je n’ai pas reçu ce qu’on appelle « le bouquet » et qu’au terme de l’année il m’octroya »généreusement » 5% sur le prix du livre,c’étaient les termes du contrat;je n’y ai pas attaché trop d’importance,enseignante retraitée et trop heureuse d’être éditée. A ses dires il n’a pas eu besoin d’y changer une virgule. Lorsque j’ai écrit mon deuxième livre, évidemment c’est à lui que je l’ai fait parvenir. Il l’a accepté sans hésitation, l’a édité.Le livre commençait à se vendre plutôt pas mal-à ses dires- or à quelques mois de sa parution,l’éditeur a quitté la ville pour une ville voisine,et sa maison d’édition changé d’adresse. Depuis, plus rien!malgré mes e-mails,sans réponse,mes coups de fil -il est toujours sur répondeur- Je lui ai même envoyé une lettre recommandée avec accusé de réception,le récépissé est revenu signé de sa main.Je n’ai pas reçu un centime de mon dernier livre. Après une petite enquête, il continue à fonctionner. Je ne sais plus que faire! ça a même influé sur mon esprit « créatif ». Je ne voudrais pas faire d’action de justice, mais prévenir vos correspondants de ce à quoi on peut être confronté.
Bonjour Léa,
merci pour votre témoignage et votre mise en garde. Espérons que cet éditeur bien peu scrupuleux changera d’attitude.
J’ai cru comprendre que c’était un éditeur à compte d’éditeur. Heureusement, la majorité de ces éditeurs sont honnêtes et sérieux.
En espérant que tout s’arrange pour vous, je vous dis à bientôt sur ce blog.
Patrick
Cher Patrick,
J’ai trois questions. Premièrement, peut-on publier un livre chez un éditeur et un autre livre avec un AUTRE éditeur? Deuxièmement, peut-on traduire un livre en anglais et en faire un film aux États-Unis (en allant le proposer à un réalisateur)? Et troisièmement, si un livre devient un film, peut-on faire partit du de l’écriture du script. Et si on peut faire un film, comment trouver un réalisateur?
P.S. Je suis parfaitement bilingue.
Bonjour,
je vais essayer de répondre à vos questions :
1) Oui, vous avez théoriquement la possibilité de publier vos livres chez l’éditeur de votre choix. Seule réserve : imaginons qu’un éditeur accepte de vous publier à la condition que vous publiiez chez lui l’ensemble de vos ouvrages, il mettra cette clause dans le contrat et vous aurez l’obligation de la respecter. C’est parfois le cas pour les auteurs très connus lorsqu’ils passent un contrat avec une maison d’édition. En contrepartie, ils bénéficient d’avantages.
2) si vous êtes l’auteur du livre, rien ne vous empêche de le traduire dans une autre langue et d’en faire un film.
3) si votre livre est adapté au cinéma, dans le contrat signé avec le producteur, il vous suffira d’inclure cette clause vous associant à l’écriture du scénario. Cela se pratique assez couramment.
4) comment trouver un réalisateur ? Il y a des annuaires de réalisateurs, mais je ne les connais pas. Vous pouvez aussi parler de votre projet à des écoles de cinéma qui pourront peut-être vous conseiller sur le choix d’un réalisateur.
Très bon vent à vous sous le ciel américain.
Patrick
Bonsoir
Je m’appelle Khadija, 57 ans résidente a Agadir. Je viens finir ma autobiographie et par mes écrits je voudrais dénoncer toutes ces barrières qui briment la femme dans le Maghreb d’hier et d’aujourd’hui encore. Je voudrais encore crier la souffrance des femmes qui ont été mariées enfants nubiles, petites filles malheureuses. Pouvez vous me conseillez quelques maisons en France lesquelles je puisse envoyer mon manuscrit?
En vous remerciant par avance
Khadija
Bonjour Khadija,
je ne connais pas de maisons d’édition susceptibles d’éditer votre ouvrage qui concerne un sujet de société, mais il y en a certainement. A tout hasard, je vous laisse un lien vers une maison d’édition qui publie beaucoup d’ouvrages sur le Maghreb, mais je ne la connais pas du tout : ÉDITIONS BOUCHENE
Je pense aussi à l’harmattan, mais qui est à mi-chemin entre compte d’auteur et d’éditeur.
Naviguez sur les sites des éditeurs, vous trouverez des informations sur leurs types de publication.
Je vous souhaite de réussir la publication de votre ouvrage.
Patrick
Bonjour Patrick Du Boisbaudry,
J’ai beaucoup avancé dans mon livre, et je suis demandé :
-quand je l’aurai fini, dois-je écrire les remercîments, et dois-je intégrer les pages vierges au début et à la fin de tous les livres ?
-j’aime beaucoup dessiné, et si je crée la première de couverture, est-ce que l’éditeur prendra en conte ce détaille (si le livre est choisis, bien sûr) ?
Avec mes remercîments les plus profond,
Chloé
Bonjour Chloé,
écrire des remerciements n’est pas une obligation, mais si vous avez des personnes à remercier, c’est une bonne initiative. Cela fait toujours plaisir, c’est une belle marque d’attention.
En effet, il est préférable de laisser une, voire deux pages blanches au début et à la fin de votre livre. Remarque : les pages vierges ne sont jamais numérotées.
Concernant la couverture, il y a deux possibilités : si vous faites appel à un éditeur à compte d’auteur, vous pouvez imposer votre choix de couverture et donc votre dessin. Mais si vous publiez votre livre avec un éditeur à compte d’éditeur, il pourra vous imposer la couverture de son choix. Mais qui sait, il sera peut-être séduit par votre dessin.
Je vous souhaite beaucoup de succès dans l’écriture.
Patrick
Merci beaucoup, pour vos réponse.
Cela m’as beaucoup aidée.
Je pense avoir d’autre question à vous posez jusqu’as la fin de mon livre…
Merci encore,
Chloé
Merci de m’avoir remercié, si je peux répondre à vos questions à venir, ce sera avec plaisir !
Patrick
Bonjour,
Mon livre se ferra en trilogie, je pense.
Dois-je à la fin du premier livre, mettre un extraie du deuxième ?
Chloé
Bonjour !
Comment faire pour que l’éditeur accroche à notre livre ? Je veux dire, si il choisit quelques pages au hasard, comment faire pour qu’il les apprécient ?
Si on envoie notre manuscrit, serait-il plus agréable de l’envoyer dans un porte-documents ?
Faut-il écrire un petit mot à l’éditeur envoyé avec le manuscrit pour présenter notre histoire et nous-même ?
Merci de vos réponses.
Bonjour,
malheureusement, il n’y a pas de recette « miracle » pour qu’un éditeur apprécie votre écriture. Soyez-vous même avec votre propre style, ce sera déjà beaucoup. Non, il n’est pas nécessaire d’envoyer votre manuscrit dans un porte-documents. Il faut seulement que votre manuscrit puisse être feuilleté facilement. A mon avis, un porte-documents encombrerait l’éditeur. Il est toujours bien de joindre un petit mot à votre manuscrit, ne serait-ce que pour remercier l’éditeur de l’attention qu’il voudra bien porter à votre ouvrage. Si vous en faites un résumé, faites-le très court. Oui bien sûr, vous pouvez vous présenter en quelques lignes.
Bonne publication à vous !
Patrick
Merci pour ces réponses claires.
J’ai une dernière question : Quelles sont les manœuvres à faire pour qu’on ne nous arnaque pas quand on envoie notre manuscrit ?
Je m’explique : Imaginons que l’éditeur ne veux pas me prendre mais copie mon idée et je ne reçois rien, comment faire pour me
« protéger ».
Bonjour Zaza!
Si vous craignez qu’un éditeur s’empare de votre idée, il vous suffit de protéger votre œuvre. Dans un article, j’explique comment procéder. Pour le découvrir, cliquez sur le lien ci-dessous :
https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/autoedition-quelles-formalites-pour-publier-son-livre/
Je vous souhaite du succès dans la publication de votre livre.
A bientôt,
Patrick
Bonjour Patrick
Jebviens de Parcourir votre Site et on y Trouvre beaucoup d Infos Intéressantes.
J Ecris une Bio et je voudrais evidemment le faire Publier. Juste merci pour vos Conseils
Muriel
Bonjour Muriel!
Merci pour votre message. Je suis content que vous ayiez trouvé des informations utiles sur mon blog, cela m’encourage à continuer.
A bientôt, j’espère.
Patrick
Bonjour Chloé !
Oui, c’est une très bonne idée : un extrait ou du moins un résumé rempli de suspense qui donne envie au lecteur d’acheter le livre suivant.
A bientôt,
Patrick
Bonjour, question idiote mais importante, faut il mettre les chapitres dans le manuscrit que l’on envoi à l’éditeur ?
Bonjour,
Pour ma part, je pense qu’il n’y a pas de questions idiotes ! Les chapitres servent à découper un texte en plusieurs parties. Envoyez votre tapuscrit tel que vous l’avez rédigé et mis en page. Un chapitre ne comporte pas obligatoirement un titre ou un numéro. Un simple espace peut marquer le début de vos chapitres et tenir lieu de découpage. Si votre texte est très court, il ne comporte peut-être pas de chapitres. Dans ce cas, envoyez-le tel quel. J’espère avoir répondu à votre question. Merci de l’avoir posée.
Patrick
Bonjour! Combien d’argent faut-il prévoir afin de faire éditer un livre? Puis comme mon anglais est très bon, je me demande si je devrais faire publier mon livre en anglais ou en français, qu’est-ce qui est le plus avantageux? (Je suis québécoise, je vie donc à me faire publier au Québec, au Canada-anglais ou au États-Unis.)Merci!
Bonjour,
le budget pour faire éditer un livre dépend du mode de publication que vous choisirez.
1) compte d’éditeur : vous ne payez rien (mais ces maisons reçoivent une grande quantité de manuscrits et la concurrence est vive)
2) compte d’auteur : les prix sont variés, généralement de 1000 € à 3000 €, voire plus selon l’éditeur. Ces prix sont uniquement donnés à titre indicatif. (Désolé de ne pas les avoir convertis en dollars canadiens !)
3) autoédition : il est difficile d’établir un budget sans connaître votre projet. Il vous faudra payer la fabrication chez un imprimeur de quelques exemplaires de votre livre, mais l’essentiel de vos dépenses sera en temps et en énergie.
PS: ces informations sont surtout valables pour la France, peut-être est-ce un peu différent au Québec. Si des lecteurs québecois peuvent le préciser, ils seront les bienvenus.
Je ne connais pas le sujet de votre livre, mais, à priori, si vous publiez votre livre en anglais, vous bénéficierez d’un marché potentiel de lecteurs beaucoup plus large (États-Unis, Canada, etc.) que si vous publiez en français. De toute manière, vous avez toujours la possibilité de faire une traduction.
J’espère que ma réponse vous a un peu éclairée. A bientôt.
Patrick
Bonjour Patrick,
Comment savoir s’il on a affaire d’un éditeur à compte d’auteur ou suis d’éditeur ?
Merci d’avance,
Chloé
Bonjour Chloé,
il vous suffira de lui demander quel budget est nécessaire pour publier votre livre. S’il répond que la publication est entièrement prise en charge par la maison d’édition, cela signifie que c’est un éditeur à compte d’éditeur. Dans le cas contraire, il s’agira d’un éditeur à compte d’auteur.
A bientôt,
Patrick
Merci,
j’ai enfin fini mon premier livre, je vais commencé les révisions et tenté l’édition.
A bientôt
Bonjour,
Premièrement, l’article m’a beaucoup aidé, mais j’ai néanmoins quelques questions… Cela fait environ 2 ans que j’écris le premier tome d’une saga fantastique, je l’ai donc commencé à l’âge de 12 ans et demi (j’ai 14 ans maintenant). Si mon livre est publié, est-ce que cela sera possible, même étant mineure, d’ouvrir un compte bancaire bloqué pour y placer l’argent gagné ? L’un de mes soucis dans le choix de mon éditeur, c’est que je tiens énormément à pouvoir choisir et personnaliser le visuel du livre (les polices d’écriture, le format, la mise en page…)et plus particulièrement la couverture. Y a t-il des éditeurs favorables qui me permettraient de choisir ces paramètres ? Et enfin, dernière question, ais-je autant de chances qu’un adulte de me faire publier..? Je sais que des adolescents de mon âge ont déjà fait publier leur livre, cependant cela reste rare et même si j’ai une détermination imbattable, j’ai vraiment peur de ne pas y arriver.
Encore merci pour l’article et vos réponses,
A bientôt.
Bonjour Camomille,
merci pour votre long message.
1- oui, mais sous toutes réserves car je ne suis pas banquier, je pense que vous pourrez disposer d’un compte bancaire bloqué si vous avez des revenus en droits d’auteur.
2- si vous faites appel à un éditeur à compte d’éditeur, autrement dit à un éditeur qui prend tout en charge financièrement pour publier votre livre, il vous faudra sans doute batailler dur pour imposer vos choix. Mais qui sait, vous pourrez peut-être le convaincre de la pertinence de vos choix. Cependant, si vous faites appel à un éditeur à compte d’auteur, vous pourrez lui imposer vos choix, car c’est vous qui passerez à la caisse.
3- généralement, la publication dépend plus de la qualité de l’ouvrage que de l’âge de l’auteur. Si votre livre séduit un éditeur, tout est possible.
Bonne route à vous !
Patrick
Bonjour Patrick,
Félicitations pour cet article et merci pour le temps que vous prenez pour répondre aux différents commentaires que j’ai lus avec attention.
J’ai commencé à rédiger un livre de bonnes pratiques du type « time management » basé sur mon expertise professionnelle.
Je pense que le marché américain est plus réceptif à ce type d’ouvrages, mon anglais est très bon mais cela se sentira que ce n’est pas un américain qui l’a écrit.
Quelques questions : d’après vous, est-il préférable de :
– tenter de le faire publier en français, puis le faire traduire en anglais ? Dans ce cas c’est la maison d’édition française qui s’en charge, auquel cas il faudrait viser une maison plus « internationale » ? Ou il faut trouver une maison d’édition aux US en plus ?
– tenter de le faire publier aux US prioritairement ? L’envoi d’un résumé est-il suffisant ou faut-il le manuscrit exhaustif ? Dois je payer un traducteur américain pour rendre mon récit plus idiomatique au préalable ou alors plutôt expliquer à l’éditeur qu’il ne doit considérer que le contenu mais pas la forme ?
Merci d’avance pour vos conseils et bonne continuation avec votre blog !
Cécilia
Bonjour, j’ai 14ans et demi et j’ai terminée d’écrire mon livre il y a peu de temps, ma meilleures ma donc conseillée de faire une suite (ce que j’ai commencer) et de faire edite le 1er tome. Malheureusement, je ne sais pas comment faire, votre site ma beaucoup aider mais j’aurai encore quelques questions:
_Combien cela va-t-il me couter ????
_Combien met un livre pour etre publier ???
Je vous remercie d’avance
Bonjour Patrick,
Je viens d’achever Mon ouvrage.j’emploie ce terme sans lui donner un caractère de valeur,ce serait fort prétentieux de ma part ! ! !)
Il s’agit d’un récit écrit en vers car j’aime la musique des mots que la prose simple ne le permettrait pas(A mon humble avis)
Je vous décrit les étapes qui m’ont conduit à les rassembler pour en faire un recueil qui tienne la route..)
Bien entendu,j’ai commencé par le titre que je veux donner à mon histoire:
– » les cris du coeur « …ou une histoire qui pourrait être la vôtre,avec mon pseudonyme ( Nestor Leboz)à la place de mon nom,ceci pour éviter d’éventuelles poursuites judiciaires.
– Un avant-propos
– Une préface aux poèmes.
– Dix thèmes de nature différente
1) les trois complices
2) A la toute puissance divine
3) A mon fils Nicolas
4) A ma fille Ingrid
5) Mes parents,mon beau-père ,mon beau frère
6) Ma compagne
7) Ma fratrie,mes petits-enfants,ma filleule
8) Mes amis
9) Souvenirs de la terre natale
10)Amourettes,poèmes osés,les insectes et les oiseaux,divers.
En fait,il s’agit d »écrits datés que j’ai commencé à partir du moment où ma femme légitime voulait divorcer,divorce qui s’est terminé par,je cite: »Aux torts exclusifs de l’épouse »
Ce sont en fait des exutoires face à une situation grave et inédite.
Ce sont mes états d’âme au jour le jour dans ce combat qu’il m’a fallu livrer contre mon épouse jusqu’à ma « victoire » avec de grands moments de déprime,de réflexions,des moments aussi d’humeur gaie ou d’observations du monde environnant etc..
Bonjour Christian, merci pour votre long commentaire.
Patrick
Bonsoir Patrick,
Vous m’avez répondu et je vous en remercie.
Mais en fait,ma question est:
A quel éditeur dois-je m’adresser???…car les chemins sont longs qui mènent à l’édition….
Merci,s’il vous est possible de débroussailler ces chemins.
A bientôt,Christian
Bonjour Christian,
en effet les chemins qui mènent à l’édition sont souvent très longs. Pour trouver le bon éditeur, n’hésitez pas à vous rendre sur leurs sites. Vous y découvrirez leurs publications et pourrez ainsi vous faire une idée du genre d’ouvrages qu’ils publient.C’est une longue recherche que je ne peux malheureusement pas mener à votre place.Tenez-nous au courant de vos démarches. Je vous souhaite un plein succès.
Patrick
Bonjour,
Je ne sais par où commencer. Je viens d’achever mon ouvrage (une autobiographie qui raconte l’une de mes plus grandes passion). Mais je suis mineur (14 ans) et je voulais savoir si cela pose un problème. On ne va sûrement pas me prendre au sérieux mais ce livre me tiens vraiment à cœur et j’ai vraiment besoin de conseil.
Merci d’avance.
Bonjour Louna,
Je ne vois vraiment pas pourquoi, on ne vous prendrait pas au sérieux à cause de votre jeune âge. Au contraire, on ne pourra que vous admirer d’avoir écrit un livre si jeune. De plus vous écrivez sur un beau sujet, puisque vous souhaitez partager une passion. Alors allez-y, lancez-vous, faites connaître votre livre autour de vous !
Patrick
Merci Patrick,
pour ce blog si intéressant. je viens de trouver beaucoup de réponses aux nombreuses questions que je me suis posées. je viens également d’envoyer mon « tapuscrit » par mail à une maison d’édition suggérée par un intervenant.
encore merci pour ce que vous faites et bonne continuation
Ibrahima
bonjour,
il y a 3 ans j’ai fait editer un livre mais comme aucune pub n’a été faite,donc des ventes limitées à mon entourage, j’ai demandé à l’éditeur, après les 2 ans de contrat, de résilier ce dernier et j’envisage de le refaire éditer. Est-ce possible, éventuellement en changeant le titre. Merci
Bonjour,
oui si c’est vous qui détenez les droits d’auteur et si vous n’êtes plus sous contrat avec un éditeur, vous avez tout à fait la possibilité de changer le titre de votre ouvrage. Cependant, il vous faudra obtenir un nouveau numéro ISBN. C’est le cas lorsque vous apportez des modifications à votre livre : changement du titre, du format, etc.
Merci pour votre participation et à bientôt,
Patrick
Bonjour, je suis maman de 2 garçons, 5 ans et 3 ans et souvent des mots ou phrases qu’ils prononcent me font sourire voire bien rire, j’ai donc eu l’idée grâce a eux de faire un recueil de « mots d’enfants » j’en ai parlé a leur maitre et maitresse de leur maternelle qui ont trouvé l’idée sympa.
Le projet va donc s’étendre a toute l’école, les mamans, maitre, maitresse, ATSEM sont chargés de tendre l’oreille et de noter toute les anecdotes qui leurs paraissent touchantes, amusantes…
L’idée finale est de faire ce livre en quantité limité peut être une centaine d’exemplaire que l’école revendra aux parents intéressés, la question est, est-ce qu’un imprimeur suffit ou dois-je me rapprocher d’un éditeur d’après vous? vous l’aurez compris je suis complètement novice dans le domaine
Bonjour Fatima,
bravo pour cette initiative originale. J’espère qu’elle pourra se développer dans d’autres écoles.
Étant donné que votre cible de lecteurs est très précise « les parents », vous n’avez pas besoin d’éditeur. Un éditeur vous serait davantage utile si vous vouliez le diffuser auprès d’un large public. Vous pouvez donc faire une précommande auprès des parents intéressés et commander le nombre exact auprès d’un imprimeur. Mais, théoriquement, si vous diffusez plus de cent exemplaires, vous devez obtenir un numéro ISBN (gratuit). Vous en saurez plus en cliquant sur ce lien :
https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/autoedition-quelles-formalites-pour-publier-son-livre/
A bientôt et plein de succès pour votre initiative.
Patrick
Bonjour et merci pour votre réponse rapide et clair, je voulais aussi savoir à quel moment dois-je faire la demande ISBN car j’en suis à peine au stade de l’étude de faisabilité de mon projet, merci également pour le tuyau de faire des précommandes, c’est une astuce à laquelle je n’avais pas du tout pensé. Je vous ferez parvenir un exemplaire une fois le projet terminé. Je suis ravie que l’idée vous ai plu et si cela pouvais s’étendre a d’autres écoles j’aurais gagné mon pari fou 😉
Bonjour Fatima,
Attendez que le livre soit entièrement terminé, autrement dit prêt à l’impression pour demander un numéro d’ISBN.
Il vous faudra alors donner un certain nombre de renseignements, tels que le titre et le nombre de pages, etc.
Ce numéro se place au dos de la quatrième de couverture (verso du livre).
Je lirai votre livre avec plaisir, merci pour votre attention.
A bientôt et bonne réalisation de votre projet.
Patrick
Bonjour tout le monde.
Je m’appelle Maxime et je débute en tant qu’auteur. Je n’ai en ce moment qu’un seul livre à mon actif et je souhaite me faire éditer. Je suis à le recherche de plateformes d’édition. J’en ai trouvé sur http://www.monbestseller.com/ mais j’aimerais avoir d’autres avis et conseils pour mieux me lancer dans cette passion.
Merci d’avance.
Bonjour Maxime,
je ne connais pas cette plate-forme d’édition, mais peut-être certains lecteurs pourront vous en dire un peu plus s’ils en ont fait l’expérience.
Merci pour cette contribution.
Patrick
bonjour,
je suis un togolais qui écrits.j’ai un roman policier qui n’a rien a voir avec les realitées africaines.la je suis en ecritures de la deuxieme partie du livre qui est une trilogie et j’aimerais me faire editer en france par exemple.comment faire?
merci….
Bonjour,
pour vous faire éditer en France, vous trouverez de nombreux renseignements sur mon blog. Cliquez sur le lien ci-dessous pour y accéder :
https://ecrire-un-livre.net/category/se-faire-publier/
J’ai également écrit un guide que vous pourrez télécharger sur Amazon.
Je vous souhaite beaucoup de succès,
Patrick
Bonjour Monsieur. Est ce que mon livre doit avoir un avant propos avant de l’envoyer? Merci beaucoup pour ces conseils. Je ne sais pas si ça va marcher mais c’est assez stressant. Très bonne journée à vous
Bonjour Josée,
si je vous ai bien compris, vous souhaitez envoyer votre manuscrit (tapuscrit) à un éditeur.
L’avant-propos n’est pas du tout obligatoire; il n’y en d’ailleurs pas dans les romans ou alors ils sont signés par des critiques littéraires et servent à présenter ou commenter l’œuvre.
Cependant, s’il ne s’agit pas d’un roman, mais d’un livre pratique ou d’un essai, l’avant-propos ou la préface peuvent alors donner des informations utiles sur la raison pour laquelle vous avez souhaité écrire votre ouvrage et éventuellement la méthode que vous avez utilisée. En conclusion, d’après moi, un éditeur ne refusera jamais de vous publier parce que vous n’avez pas d’avant-propos. Peut-être vous demandera-t-il d’en écrire un par la suite, s’il le juge utile.
A bientôt
Patrick
bonjour, j’ai écrit plusieurs petits livres pour les enfants(un peu du style des monsieur madame) ma soeur m’a fait des dessins pour illustrer mes livres. Comment dois je faire pour me faire éditer? Dois je envoyer que les histoires ou les histoires avec les dessins?
Dois je protéger mes livres avant de les envoyer aux maisons d’éditions? Vaut il mieux envoyer par mail ou par courrier? merci de votre réponse.
Bonjour Séverine,
1) pour vous faire éditer, vous trouverez de nombreux conseils sur mon site en cliquant sur le lien suivant :
https://ecrire-un-livre.net/category/se-faire-publier/
2)Il est préférable d’envoyer les histoires accompagnées des dessins, car j’imagine qu’ils sont inséparables. Ainsi, l’éditeur aura une vue d’ensemble.
3)Il est préférable de protéger votre œuvre, d’autant plus que les formalités sont simples et peu onéreuses. A ce sujet, vous trouverez des informations en cliquant sur le lien suivant : https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/autoedition-quelles-formalites-pour-publier-son-livre/
4)Envoyer par mail ou courrier ? Cela dépend de l’éditeur. Je vous conseille donc d’appeler les éditeurs pour le leur demander. Vous en profiterez pour vérifier l’adresse de l’expédition.
Je vous souhaite du succès dans votre projet.
Patrick
Bonjour,
Sur le site http://www.raconte-nous-une-histoire.com/ nous vous proposons de mettre en ligne certaines de vos histoires, si elles ne sont pas trop longues. Cela pourrait être l’occasion de vous faire un peu de pub… allez voir ce lien : http://www.raconte-nous-une-histoire.com/coin-des-enfants/histoires//Vous+avez+invent%C3%A9+une+histoire+et+vous+aimeriez+la+publier++_b116
Allez les mamans les papas qui veulent tenter l’aventure…
Merci Maman Grenouille !
Avis aux mamans et papas et aux grands-parents qui souhaitent faire travailler leur imagination au service des petits …
Bonjour Patrick. J’ai 13 ans et j’écris un livre mais, je suis très hésitant sur mon livre. J’aurais une ou deux question à vous poser .
1. Est-ce que je peux écrire une suite d’un livre. Je m’explique : Je ne sais pas si vous connaissez les tomes » Alex Rider » d’Anthony Horowitz.
Il en a publier 10 et je suis entrain d’en écrire un 11 ème.Est-ce légal ?
2 . Je ne veux pas mettre des parties de mon livre sur internet parce que je ne veux pas qu’on me vol mes extraits et personne ne l’a lu pour le moment.
Je n’ai pas fini de écrire mon livre .
Je n’ai que 13 ans mais j’ai peur qu’un éditeur m’arnaque . Pourriez vous me donner quelques astuces quand vous aurez le temps , merci d’avance bonne fin de journée
Bonjour,
1- non, ce n’est pas légal si vous reprenez l’histoire d’Antony Horowitz, ce serait considéré comme du plagiat. Ou arrangez-vous pour vous en inspirez seulement en changeant les faits et les lieux.
2- je pense que vu votre jeune âge vous avez tout à gagner en montrant vos textes, vous pourrez ainsi recevoir de précieux conseils. Quant aux éditeurs, ils ne sont pas tous des arnaqueurs et sur le web, il n’y a pas que des voleurs, loin de là !
Bonne écriture,
Patrick
Bonjour,
J’ai 12 ans, je suis tombée sur ce site par hasard et j’ai une question : quelles sont les maisons d’éditions qui éditent les enfants ( j’ai 13 ans ) et quelles sont leurs adresses ?
Merci
PS : Ararel est le nom de mon roman …
Bonjour,
tout d’abord bravo pour votre roman.C’est une belle expérience qui vous apportera certainement beaucoup.
Au risque de vous décevoir : il n’y a pas de maison d’édition spécialisée dans la publication de livres écrits par des enfants, du moins pas à ma connaissance. Il y a des éditeurs spécialisés dans la publication de livres pour enfants, mais c’est différent. A priori tous les éditeurs sont susceptibles de publier des livres écrits par de jeunes auteurs. L’important est de vous adresser à des éditeurs qui publient le même genre de roman que celui que vous avez écrit.
Je vous souhaite beaucoup de bonheur dans l’écriture.
Patrick
bonjour,je m’appelle lindia et j’ai 13 ans.
je recherches des jeunes de mon ages avec qui parler d’Ecritures,
car moi aussi je suis entrain d’ecrires un roman de science phiction…
merci de bien vouloir me repondre,et bonne continuation de ton romans!!!
Bonjour,
votre site m’a apporté de nombreuses réponses et je vous en remercie, cependant il me reste encore quelques questions:
-J’ai écrit une thèse dans le cadre de mes études et je souhaiterai la faire publier… J’ai de nombreuse photos pour illustrer mes propos que j’ai prises sur internet et dans des livres. J’ai evidemment précisé l’origine et l’auteur sur chacune des photos et je les ai repertoriées à la fin dans une table d’illustration… Puis-je procéder de même pour la publication d’un livre? Si oui dois-je contacter l’auteur de l’illustration? ou dois-je faire mes propre photo?
-Enfin une question plus terre à terre: Quel pourcentage moyen doit-on attendre par livre vendu?
Merci par avance pour votre réponse!
Bonjour Laurence,
pour publier un livre avec des photos, il ne suffit pas de mettre la source et le nom du photographe, encore faut-il avoir son autorisation écrite, excepté s’il est fait mention que l’image est libre de droits. Vous pouvez utiliser des photos libres de droit pour un coût très bas sur certains sites spécialisés. Pour ma part, j’utilise régulièrement Fotolia. http://fr.fotolia.com/?utm_source=Google&utm_medium=cpc&utm_campaign=Fotolia_FR%20Brand&tmad=c&tmcampid=6&tmplaceref=FR&gclid=CjwKEAiA_4emBRCxi8_f2cWWjFcSJAB-v1qyeiL3N4IgBTg3iOnHm3HDCK_z2heV7xgtdbKVXBmS6RoCUP7w_wcB
Si vous êtes publiée chez un éditeur à compte d’éditeur, vous toucherez entre 8 à 10 % du prix du livre sur chaque exemplaire vendu.
J’espère avoir répondu à vos questions.
A bientôt peut-être sur ce blog.
Patrick
Merci pour votre réponse rapide!
Bonjour Patrick,
Tout d’abords merci pour votre blog qui peut être d’une grande aide.
Ma question à moi n’est pas comment me faire publier car je viens d’être publiée il y a peu dans une maison d’éditions à compte d’éditeur, la promo et la diffusion sont parfaites (plusieurs télés, radios, journaux papiers et on trouve le livre un peu partout FNAC Amazon, Décitre, etc…).
Moi ce que je voudrais savoir c’est comment être sûre que l’éditeur ne nous arnaques pas sur le nombre des ventes ? comment puis je être sûre du nombre de ventes que mon livre témoignage aura fait dans un an quand il faudra me payer mon pourcentage ? je ne pense pas que mon éditeur soit mal honnête mais je me méfies un peu de tout le monde c’est dans ma nature.
Je vous remercie d’avance pour votre réponse, si vous en avez une bien sûre.
Cordialement
Bonjour Shanna,
tout d’abord bravo pour la publication de votre ouvrage. Vous pouvez si vous le souhaitez nous présenter en quelques mots votre livre pour les lecteurs du blog que cela pourrait intéresser.
Sinon, si vous avez traité avec un éditeur qui a pignon sur rue, il n’y a aucune raison pour qu’il vous arnaque. Alors, restez confiante et dormez sur vos deux oreilles …
Patrick
Bonjour,
Je viens de terminer un petit conte pour enfants que j’aimerais proposer à des éditeurs. Ne sachant pas dessiner, j’aimerais savoir si je dois l’envoyer avec des dessins réalisés par un illustrateur ou s’il vaut mieux l’envoyer sans dessin car peut-être que les maisons d’éditions ont leur propre illustrateur. Quel est le meilleur choix ?
Si l’on envoie plusieurs petits livres sur le même thème (collection) a-t-on plus de chance d’être accepté par un éditeur ?
Sous quelle présentation faut-il l’envoyer (format, police, interligne, etc…)
Faut-il me présenter à l’éditeur par une lettre à part ? Ou cette lettre doit-elle être incluse dans le livret (première, dernière page ?.
Comment écrire cette lettre ?
Existe-t-il un livre, un site pouvant m’aider ?
Merci de votre aide
Anne-marie
Bonjour Anne-Marie,
personnellement, je vous conseillerai d’envoyer votre texte sans illustrations. En effet, faire appel à un illustrateur risque de vous coûter cher sans savoir si ce type d’illustration peut plaire à l’éditeur. Si votre texte intéresse l’éditeur, il s’arrangera pour trouver un illustrateur, car après tout c’est son métier.
Concernant l’envoi de plusieurs petits textes ou non, cela dépendra de l’éditeur et de sa ligne éditoriale. Certains ont des collections, d’autres non. Pour cela rendez-vous sur les sites des éditeurs avant d’envoyer vos textes ou, si besoin, n’hésitez pas à les appeler pour leur demander conseil.
Certains éditeurs préfèrent recevoir les textes par courrier, d’autres par mail. Renseignez-vous avant. Choisissez un format simple (Word ou Open Office), avec un interligne de 1,5, suffisamment espacé pour que l’éditeur puisse porter des annotations. Police classique, type Times new roman, Arial, Calibri …
Il est mieux de rédiger une lettre à part, contentez-vous d’une courte présentation. Si l’éditeur est intéressé, il cherchera à en savoir plus sur vous.
Je ne connais pas de site pouvant vous aider, mais je vous conseille d’appeler les éditeurs avant votre envoi, généralement ils sont assez disponibles pour répondre. Cependant, avant de les appeler, assurez-vous en naviguant sur leurs sites, que votre texte correspond bien à ce qu’ils publient habituellement.
Bonne route à vous.
Patrick
Bonjour
J’ai écrit un roman jeunesse que j’ai envoyé à une trentaine d’éditeurs.
J’ai reçu quelques réponses type qui n’en étaient pas, style que ça ne correspondait pas à leur ligne éditoriale, ce qui est totalement faux.
J’ai reçu également une réponse plus positive où il m’est demandé de remplir un questionnaire.
Et autant j’ai écrit mon roman d’un trait, autant c’est le blocage total pour ce fichu questionnaire.
Je vous le soumets et puis je vous poserai quelques questions de détail.
——————————————————
FICHE du LIVRE du titre :
Phrase d’accroche :
Présentation du livre :
Biographie de l’auteur :
Photo de l’auteur (portrait) à joindre au mail.
Résumé du livre :
FICHE ARGUMENTAIRE PRESSE
Public cible :
Points forts :
Concurrence :
Publicité :
——————————————————
FICHE du LIVRE du titre : ok
Phrase d’accroche : ok
Présentation du livre : là, j’ai déjà bloqué
j’ai mis ceci mais j’ignore si c’est ça qu’ils veulent:
« Une enquête bien ficelée avec une fin assez originale, menée par des personnages peu communs.
Quatre chats, simplement des copains au départ, vont devoir mettre en commun leurs idées, leurs ressources et aller au-delà de leurs limites. Mais la vie en communauté, si elle apporte son lot de joies (amitié, amour naissant, fous rires, promenades, jeux, …), amène également ses peines, ses inquiétudes (chamaillerie, peines de cœur, rivalité, prise de pouvoir, fugue, disparition inquiétante, mise en danger,…).
Les descriptions sont le plus souvent brèves et laissent plutôt la place à des séries de dialogues.
On ne perd pas le fil de l’histoire: régulièrement des mises au point de la progression de l’enquête sont faites.
Bref, un récit vivant où l’ennui est absent. »
Biographie de l’auteur : comment se résumer sans faire trop lourd, trop rigide?
Photo de l’auteur (portrait) à joindre au mail. ok
Résumé du livre : Faut-il résumer en racontant la fin (le dénouement final)?
FICHE ARGUMENTAIRE PRESSE
Public cible : là ok aussi
Points forts : je ne vois pas vraiment (ça rejoint un peu la fin de la présentation du livre)
Concurrence : ???
Publicité : ???
Merci d’avance de m’aider car je ne voudrais pas trop traîner à leur répondre – j’ai déjà ce questionnaire depuis 5 jours
Bonjour Christine,
je vais essayer de vous répondre.
Présentation du livre : là, j’ai déjà bloqué
j’ai mis ceci mais j’ignore si c’est ça qu’ils veulent:
« Une enquête bien ficelée avec une fin assez originale, menée par des personnages peu communs.
Quatre chats, simplement des copains au départ, vont devoir mettre en commun leurs idées, leurs ressources et aller au-delà de leurs limites. Mais la vie en communauté, si elle apporte son lot de joies (amitié, amour naissant, fous rires, promenades, jeux, …), amène également ses peines, ses inquiétudes (chamaillerie, peines de cœur, rivalité, prise de pouvoir, fugue, disparition inquiétante, mise en danger,…).
Les descriptions sont le plus souvent brèves et laissent plutôt la place à des séries de dialogues.
On ne perd pas le fil de l’histoire: régulièrement des mises au point de la progression de l’enquête sont faites.
Bref, un récit vivant où l’ennui est absent. »
Pour ma part, la présentation serait plutôt le format et le type d’illustrations s’il y en a.
Biographie de l’auteur : comment se résumer sans faire trop lourd, trop rigide?
Pourquoi l’éditeur vous demande une biographie ? Souhaite-t-il l’insérer dans le livre à destination du lecteur ou veut-il seulement l’utiliser pour sa propre information ? Selon l’objectif, elle sera rédigée différemment. Ce serait donc intéressant de lui poser la question.
Photo de l’auteur (portrait) à joindre au mail. ok
Résumé du livre : Faut-il résumer en racontant la fin (le dénouement final)?
A mon avis le résumé est le texte que vous avez mis dans la présentation.
FICHE ARGUMENTAIRE PRESSE
Public cible : là ok aussi
Points forts : je ne vois pas vraiment (ça rejoint un peu la fin de la présentation du livre)
Oui, d’accord avec vous.
Concurrence : ???
Question bizarre, généralement l’éditeur est beaucoup mieux placer pour répondre à cette question que l’auteur : promouvoir et vendre un livre, c’est théoriquement son job.
Publicité : ???
Même chose, je ne comprends pas ce que vient faire cette question, c’est le travail de l’éditeur.
Savez-vous s’il s’agit d’un éditeur à compte d’éditeur ou à compte d’auteur ? Pour ma part, je pencherai pour la deuxième solution. Je vous conseillerai de l’appeler pour en savoir un peu plus sur son statut et sur ce qu’il attend précisément de vous.
Bonne publication
Patrick
Bonjour Patrick,
Merci pour tous vos conseils, c’est plutôt très intéressant!
Voici ma préoccupation:
J’ai ces derniers temps l’envie d’écrire, ce qui n’était pas un désir ni des projets d’enfance. J’ai commencé à mettre toutes mes idées par écrit (sur word). Puis, je me suis lancé à les faire publier. Aujourd’hui je me suis fait éditer deux ouvrages dans une maison d’édition.
La difficulté que j’ai est de travailler les textes moi-même, c’est-à-dire les ordonner avec les connecteurs logiques et agencer les phrases et paragraphes pour donner une suite logique au livre.
Est-il possible de trouver un moyen ou quelqu’un qui puisse rédiger pour moi,ayant cette sensibilité d’écriture? Et qui puisse l’arranger pour que le livre depuis le début soit cohérent et la lecture soit fluide? Car j’écris comme ça me vient, mais la maison ne réajuste pas mes phrases ou expressions, ce que je souhaite. Un peu comme: je vous raconte mon histoire et vous vous chargez de travailler la forme, les syntaxe et les ajustements pour aérer le livre pour moi. J’ai des manuscrits déjà écrit, mais les débuts de phrases, résumés et suite ne me conviennent pas trop. Et pour cette fois, je veux un travail à ce niveau.
Je vous remercie d’ores déjà!
Bonjour Loïc,
pour vous aider, il faut que vous fassiez appel à un écrivain qui vous accompagnera et retravaillera votre récit. Une sorte de coach en écriture. Cherchez dans un moteur de recherche l’expression « coaching littéraire ». Personnellement, je ne connais personne dans le domaine du roman,car je suis avant tout spécialisé dans les récits de vie. Peut-être pourriez-vous suivre avec profit un atelier d’écriture. Je ne sais pas où vous résidez, mais il y en a beaucoup en France, un peu partout.
Patrick
Bonjour Patrick,
Encore merci pou vos conseils. Je vais essayer ça alors!
Bonne journée à vous!
Bonjour,
tout d’abord je tiens à dire que vos conseils sont très bien reçus, et j’apprécie votre franchise. Je nourris depuis mon plus jeune âge, disons huit ans, le rêve de devenir écrivaine, et suis dans l’écriture de mon premier « roman » qui j’espère sera un jour publié.
Je n’ai malheureusement pas suivi d’études de lettres, et n’ai aucune expérience en la matière, hormis celle scolaire (je précise que je suis encore en seconde au lycée), et j’ignore si ce manque d’expérience agira sur le choix de l’éditeur.
De plus, j’ai la crainte qu’on parle de ce jet en tant que « déjà vu », ou bien « il ne manquait plus que ça ».
Peut être, manqué-je de confiance en moi bien que je ne désespére pas de voir ce livre dans les rayons d’une librairie?
Mais je ne perds pas les sens de la réalité, et éprouve de l’anxiété face à l’avenir:
Je sais que le monde de l’édition est très, je dirais « select » à défaut d’autres termes (pardonnez mon langage qui peut paraître vaniteux ou méprisant, ce n’est absolument pas l’intention voulue), et comment savoir si j’ai une chance pour que mon manuscrit ne soit pas rejeté dès le premier chapitre?
Enfin, les quelques personnes auxquelles j’ai fait lire le premier jet, n’ont pas manifesté un grand intérêt, certains n’ayant pas pris la peine de lire plus que le prologue, et de ce fait, j’éprouve la crainte que les lecteurs n’aimeront pas l’histoire que j’ai créée.
Voilà, merci d’avance pour vos réponses,dont je ne doute pas de la fiabilité 🙂
Bonne soirée, et bonne chance à toutes les personnes étant dans la même situation que moi.
Bonjour Déborah,
peu importe les études que vous avez faites ou pas faites, les éditeurs ne vous jugeront pas sur cela. Ils savent très bien que ce ne sont pas les diplômes qui font obligatoirement de bons auteurs. Il existe certainement des docteurs en lettres qui connaissent parfaitement la littérature mais ont une écriture médiocre. L’éditeur s’attachera d’abord à vos écrits et dans un second temps à votre personnalité. Mais si un jour vous êtes publiée (ce que je vous souhaite) ce ne sera pas en vertu de vos diplômes mais bien du texte que vous aurez écrit. Donc rassurez-vous, diplôme ou pas, expérience ou pas, peu importe, seuls vos écrits compteront.
Comment savoir si j’ai une chance pour que mon manuscrit ne soit pas rejeté dès le premier chapitre? A cette question que vous posez, j’ai envie de répondre : vous ne saurez jamais si vous ne tentez pas votre chance. Certes dans le monde des auteurs, il y a peu d’élus, mais il y en a et c’est bien l’essentiel. Il y a de nombreux exemples d’auteurs qui sont devenus célèbres en envoyant leur manuscrit par la poste, sans la moindre relation. C’est souvent un long chemin et ceux qui réussissent ne se découragent pas.
Vous avez fait lire une partie de votre texte à des personnes qui n’ont pas manifesté un grand intérêt. Ce n’est pas une raison pour vous décourager. Ils ne font sans doute pas partie du profil des lecteurs susceptibles d’être intéressés par votre livre. Et puis, on ne peut pas plaire à tout le monde. De grands auteurs peuvent être à la fois aimés par certains lecteurs et détestés par d’autres. Pour conclure, je vous dirai : lancez-vous si vous en avez la profonde motivation. Mais d’après votre message, vous semblez très motivée.
Patrick
Merci beaucoup pour votre réponse, en effet je suis très motivée.
J’écris des histoires depuis mes huit ans, et devenir écrivain est ma plus grande ambition dans la vie: voir un jour mon « roman » en librairie sera certainement un des plus beaux de toutes ma vie!
Mon professeur principal ne manifeste pas non plus un grand intérêt pour mon projet d’avenir, et se moque de moi ouvertement « n’oublie pas de me donner un autographe avant de passer en 1ere ».
J’ai peur de ne pas être à la hauteur et que personne n’apprécie mon histoire, et surtout de ne pas réussir à surmonter un échec.
Bonjours Patrick,
Je ne sais pas par où commencer, j’ai écris un extrait dont toute ma famille raffole ils n’ont pas arrêter de me dire de continuer jusqu’à espérer que j’en fasse un livre connu mais je ne sais pas par où commencer et pour ma part je ne trouve pas mon extrait fulgurant, qu’es que je doit faire, s’il vous plaît aider moi. Pour information je n’ai que 15 ans.
Bonjour Jimmy
Par où commencer ? Ah la grande question que nous nous posons tous ! Mais apparemment vous avez déjà commencé et plutôt bien si j’en crois votre famille. Alors ne commencez pas puisque c’est déjà fait, mais continuez sur cette voie. Tous les grands destins commencent par un premier pas.
Bonne route à vous,
Patrick
Ci-dessous un lien qui pourra peut-être vous aider !
https://ecrire-un-livre.net/conseils-pour-ecrire/ecrire-un-livre-oui-mais-par-ou-commencer/
Merci pour cette mise au point intéressante.
Il est vrai qu’être publié tient souvent du parcours du combattant. Je suis parvenu à être édité dans une petite maison d’édition, après avoir retravaillé mon texte, sélectionné drastiquement les éditeurs, relancé de temps à autre… j’ai beaucoup espéré et, après quelques années, ça a marché… Il faut le dire : c’est difficile, et il ne faut pas brûler les étapes. Je vois sur le net des jeunes écrivains qui espèrent, en six mois ou un an, être édité. J’ai du mal à y croire, tant les manuscrits sont nombreux et les éditeurs frileux de faire connaître des auteurs inconnus (donc peu « bankables »).
Merci donc pour ce site qui remet bien les choses en place. Je profite tout de même de ce commentaire pour citer un autre site qui m’a bien aidé : http://manu-ecrit.fr . Il y a beaucoup de conseils de bon sens, notamment dans leur section Conseils pour être édités… A voir, pour ceux que ça intéresse 😉
Bonjour Claude,
merci pour ce témoignage encourageant et pour cette adresse qui j’espère sera très utile aux lecteurs de ce blog qui cherchent à publier leur livre. Je considère ce blog avant tout comme un lieu d’échanges et vous y participez. Merci encore.
Patrick
Bonjour Patrick,
Je me suis lancé dans une saga fantastique qui je l’espère, deviendra un grand best-seller.
Je suis actuellement à mon deuxième tome, mais je n’ai pas encore envoyé mon premier tome a une maison d’édition.
J’avais une petite question sur la taille de la police. J’utilise du seize, mais je me demande si ce n’est pas trop grand…
Et je voulais demander comment je pourrai faire pour monter mon manuscrit en un film qui je l’espère aussi fera le tour du monde, un petit peu comme Harry Potter ou Les seigneurs des anneaux.
Encore merci et au passage, votre blog est vraiment super !
Bonjour Boulban,
merci tout d’abord pour votre compliment, je suis content que vous appréciiez ce blog.
Concernant la taille de la police, je vous conseille le 12, voire le 11. Mais rassurez-vous, cela n’a pas une grande importance tant que vous n’en êtes pas au stade de l’impression. L’éditeur, s’il accepte votre tapuscrit, refera entièrement la mise en page.
Pour un film, vous avez deux solutions : votre livre est publié, il a du succès et un producteur vient à vous pour adapter votre roman au cinéma. Ou, deuxième solution, vous réécrivez votre manuscrit sous la forme d’un scénario et vous le proposez à différentes maisons de production. Je vous souhaite de réussir dans votre projet, mais sachez que le parcours risque d’être long et abrupt, alors ne vous découragez pas !
Patrick
Bonsoir Patrick,
Merci beaucoup pour vos conseil, ça m’aide beaucoup.
Je voulais aussi vous demandez: les livres fantastiques sont généralement des bouquins d’au moins 500 pages. Dois-je moi même atteindre un cota de page ?
Et je voulais aussi vous demander des conseils sur des techniques d’ameublements: en effet, mon bouquin contient 70 chapitres et j’ai 250 pages… Et je ne maîtrise pas cette technique de mettre du « Blabla » pour gagner des pages…
Et j’ai acquis mon propre style d’écriture, basé sur l’humour et le sarcasme, mais avec du recul, je me demandais si mon travail ne serait pas pris au sérieux…
Encore merci pour vos conseils avisés ! Vous m’êtes d’une grande aide !
Zakaria
Bonjour,
un conseil : ne vous préoccupez pas du nombre de pages. Heureusement, ce n’est pas l’épaisseur qui fait la qualité d’un livre. Concentrez-vous sur l’histoire et le style.
Si votre style est basé sur l’humour et le sarcasme, ce n’est sans doute pas par hasard. Si cela vous convient, gardez ce style. Il y aura toujours des lecteurs à qui cela plaira. Et n’oubliez pas qu’on ne peut pas plaire à tout le monde. Si j’avais un simple conseil à vous donner, je vous dirais : « soyez vous-même et votre talent fera le reste !
Patrick
Bonjour,
Merci pour tous ces conseils avisés, qui permettent de mieux comprendre le monde de l’édition.
Mais avant tout, je pense que toute personne qui désire se faire publier devrait se renseigner sur les différents types d’éditions (autoédition, édition à compte d’auteur et édition à compte d’éditeur). Je n’avais rien recherché à ce sujet, et j’essayais désespérément de trouver une maison d’édition dans cette jungle impitoyable. Aussi ai-je perdu énormément de temps, avant d’aller taper sur Google « différences entre autoédition, édition à compte d’auteur et édition à compte d’éditeur » et là j’ai enfin mieux compris le fonctionnement global de l’édition.
En tout cas, je vous remercie beaucoup pour ce site et pour les réponses détaillées que vous rédigez pour les personnes qui vous posent des questions. D’ailleurs c’est grâce à vous que l’idée de mieux me renseigner sur les différents types d’éditions m’est venue… Et maintenant à défaut d’avoir choisi une maison d’édition pour essayer de publier mon premier roman, j’y vois déjà plus clair…
Marie
Bonjour Marie et merci. Vos remarques sur mon blog sont encourageantes. Le monde de l’édition est assez complexe en effet avec toutes ses formules. Je vous souhaite du succès pour la publication de votre livre.
Patrick
NB : Si cela vous intéresse et si vous êtes disponible, j’organise mardi 7 avril à 20H30 une conférence en ligne sur les différents modes d’édition. Je répondrai aux différentes questions?
Bonjour,
Merci beaucoup pour vos conseil :).
Je veux tout d’abord dire que vous m’avez beaucoup éclairé sur le sujet. J’ ai 16 ans et je viens du Québec, au Canada. Depuis mes douze ans environ j’écrit un livre de genre Fantastique penchant un peu sur le romantique. Mon rêve le plus précieux serait que ce livre soit publier, mais je prendrai le temps qu’il faudra pour le peaufiner. Tout ça pour demander quels sont vos méthodes à vous pour vérifier que votre texte est bon. Est-ce que vous vous payez un correcteur? Et, si oui, quel est le prix? Est-ce qu’il serait mieux pour moi de ne pas trop parler de mon âge? Combien reçoit approximativement quelqu’un à son premier livre?… Je sais que je dois avoir l’aire d’une jeune qui s’énerve un peu trop sur un sujet qui la dépasse, mais je veux vraiment être écrivaine plus tard et, pour ça, j’ai besoins de conseil.
Bonjour Lauraly
Ce ne sont pas les correcteurs qui vérifient si un texte est bon, les correcteurs sont essentiellement chargés de corriger les fautes d’orthographe et de grammaire. C’est toujours difficile de dire si un texte est bon ou mauvais, car il peut plaire à certains et pas à d’autres. Je vous conseillerai d’abord de le faire lire dans votre entourage pour avoir quelques critiques positives et négatives qui vous aideront. Quand vous serez prête, que votre texte sera finalisé, n’hésitez pas à l’envoyer à plusieurs maisons d’édition en même temps. Ils ont des lecteurs qui sont chargés de dire si votre livre a sa place dans la maison d’édition. S’il n’a pas sa place, cela ne veut pas dire que votre livre est mauvais, c’est tout simplement qu’il correspond pas à leurs publications. Ne cachez pas votre âge, ce n’est pas du tout un handicap, bien au contraire. Et ce qui compte c’est avant tout la qualité de votre livre. François Sagan a publié à 19 ans un livre qui a eu un immense succès : Bonjour tristesse. Vous voyez, à condition d’y crorie, tout est permis.
Patrick
salut.je trouve formidable ce que vous faites.pour ma part vos conseils m’ont beaucoup aidée.j’ai écri trois romans mais je n’ai pas pu les éditer.je n’ai que 15ans et au togo c’est pas facile
Bonjour Maelle,
peut-être pourriez-vous les faire éditer en France dans une maison d’édition en ligne. Vous leur envoyez votre manuscrit (tapuscrit) par mail.
Vu votre âge, il faudra certainement l’autorisation de vos parents.
Bravo pour à 15 ans avoir déjà écrit 3 romans.
Patrick
Bonjour,
je me permet de laisser une annonce ici car je suis étudiante en école d’art , et je suis à la recherche d’un livre qui n’a jamais été édité. Dans le cadre d’un projet artistique, j’aimerais collaborer avec un auteur (je n’ai aucun critère en ce qui concerne ce dont parle le livre), réaliser une édition/faire la mise en page de son oeuvre. Il ne s’agit que d’un projet dans le cadre scolaire, je recherche en URGENCE une personne qui accepterais cette collaboration artistique. Il n’y aura aucun profit fait sur votre écrit, aucune démarche commerciale. Simplement une mise en page de votre écrit, qui ne sera ni donné, ni prêter, ni lu, par personne d’autre que moi et mon professeur. C’est un projet très important pour moi, qui permettrait de donner vie également à votre oeuvre et lui offrant une publication UNIQUE. En espérant que vous soyez intéressé… N’hésitez pas à me contacter !!!!
bonjour Ivana,je m’appelle lindia j ai 13 ans.
j’ai commençer une romans,j’en suis a ma 60 èmes pages ,mais je n’ai pas tres bien compris ce que vous souhaiter faire,pourrier vous m’expliquer en détailles ?
merci d’avance.
BONJOUR SIR,
je suis un étudiant en droit et je désire écrire des oeuvres de droit et un peu de roman et desire avoir un soutien et des conseils pour l’accomplissement. Merci pour vos soutiens
Bonjour,
vous trouverez de nombreux conseils sur ce blog. N’hésitez pas à le parcourir en long et en large.
Bonne lecture.
Patrick
Bonjour Patrick,
Merci pour toutes vos explications si dessus.
J’ai une petite question : pour envoyer notre texte a un éditeur, faut t’il écrire en quatrième de couverture un résumé de notre texte ?
Bonjour Audrey,
oui vous avez la possibilité de faire un résumé de votre histoire, mais ce n’est pas du tout obligatoire. Vous parlez de quatrième de couverture, je suppose donc que vous avez fait une mise en page format livre avec couverture. Il est préférable de ne pas le faire. Contentez-vous d’envoyer votre texte en format A4 avec une interligne de 1,5 afin que l’éditeur puisse faire des annotations. Plus la mise en page sera simple et mieux ce sera. Si votre texte est accepté par l’éditeur, c’est lui qui se chargera de faire la mise en page et de concevoir la couverture.
Bonne publication.
Patrick
Bonjour, j’ai quatorze ans, je m’appelle Eva et je suis une élève de troisième. Je suis actuellement en train d’écrire un ouvrage (qui n’est donc pas encore un livre), et je voudrais savoir si même à mon âge, il m’est possible de publier un livre. Bien sûr, j’ai conscience du travail que cela représente, je me suis renseignée sur le sujet.
Je souhaite tout de même préciser que je n’écris pas seulement pour moi, mais aussi dans l’espoir de faire lire un jour mes écrits au grand public. J’ai été conseillée par les adultes qui m’entourent, réctifié les quelques erreurs d’âges de mes personnages et autres, et j’ai tenu compte de chaque remarque reçue. À mon âge, j’ai l’occasion de faire lire mon texte à des amies de mon âge mais aussi à des personnes mûres, et je prends en compte tous les avis pour m’améliorer.
Certains penseront sûrement que je n’ai aucune chance, que je suis trop jeune ou bien que je n’ai pas assez d’expérience en la question, mais je n’ai aucune envie d’abandonner parce qu’écrire est ma passion depuis mes sept ans et que mon rêve reste d’écrire un livre. La question est donc : m’est-il possible de trouver un éditeur qui veuille bien s’intéresser à mes écrits, même si je ne suis âgée que de quatorze ans ? Merci d’avance,
Eva.
Bonjour Eva,
merci pour votre long message et bravo pour votre détermination. C’est une très bonne chose de faire lire vos textes auprès de votre entourage, cela ne peut que vous aider.
Ne vous occupez pas de ceux qui pensent que vous êtes trop jeune pour publier un livre, suivez votre idée, écrivez et envoyez votre texte à des éditeurs, vous verrez bien. Qui n’essaye rien, n’a rien. Si vous n’êtes pas publiée à 14 ans, vous aurez au moins une belle expérience dans l’écriture et peut-être serez-vous publiée un peu plus tard, en tout cas je vous le souhaite. L’important aujourd’hui, c’est de vivre votre passion pour l’écriture.
Patrick
Bonjour,
Voilà, sa fait une heure que je remonte chacun de vos commentaires et dois avouer que je suis très heureuse qu’il y en ai jusqu’en 2015, raison pour laquelle je me risque avec un commentaire. Votre article est très bien fait, bravo. J’écris depuis huit ans, depuis mes huit ans et j’ai une collection de 60 nouvelles. Pensez-vous qu’il est possible d’envoyer un recueil ou quelque chose comme sa pour être publié ? J’ai par ailleurs un gros projet de livre presque fini et je me suis promise de tenter de me faire publier. J’aimerais savoir si vous connaitriez des sites sur ou faire lire mon œuvre et des éditeurs gratuits ( puisque si vous avez fait le calcul, je suis mineur)
Merci d’avance
Bonjour,
bien sûr vous pouvez envoyer vos nouvelles à un ou plusieurs éditeurs. Le mieux est de le faire dans un format A4 avec une mise en page toute simple. Évitez d’envoyer à un éditeur un texte sous la forme d’un livre imprimé.
Je ne connais pas personnellement de site où on a la possibilité de faire lire son texte pour avoir un avis, mais je sais que cela existe. Avis aux lecteurs du blog qui connaissent de tels sites afin qu’ils nous en donnent les références.
Trouver un éditeur gratuit n’est pas chose facile, à moins de passer par un éditeur à compte d’éditeur. Mais dans ce cas les places sont chères, la concurrence est grande. Cela ne vous empêche pas de tenter votre chance. Sinon vous avez aussi la possibilité de vous auto-publier.
https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/autoedition-quelles-formalites-pour-publier-son-livre/
Sur Edilivre, vous avez également la possibilité de publier gratuitement votre livre. Vous avez un intéressement à chaque vente. L’intérêt c’est que vous n’avez pas d’avance à faire.
Bonne publication,
Patrick
Bonjour
Je viens de finir mon premier roman, et je suis sur sa suite directe, serai t’il mieux d’en faire deux tomes séparés ou d’en faire qu’un seul? En sachant qu’ils peuvent être lus indépendament l’un de l’autre
Les noms de mes personnages pour la plupart portent des vrais noms ( exemple mon neveu s’appelle jean machin), ai je le droit de donner le nom de jean machin a mon personnage? Ou dois je inventer les noms?
Je suis tombé sur EDILIVRE est t’il un site sur?
Comment se faire payer par ce site après publication? ou par n’importe quelle maison d’édition
Edilivre vend t’il seulement via le net, ou peut t’on trouver ces livres dans le commerce?
J’aimerai livrer en personne l’espace culturel de ma région Edilivre pourrait ‘il m’aider?
Dois t’on joindre un RIB pour se faire payer?
Y a t’il une avance a faire aurpès des éditeurs pour la création du roman?
merci a vous pour vos messages que j’ai lu ils expliquent plein de choses
Bonjour Goulven,
faire un seul tome ou deux dépend de la stratégie que vous voulez adopter pour publier. Pour ma part, je vous conseillerai de faire deux tomes dans la mesure où ils peuvent se lire de façon indépendante comme vous le soulignez.
Concernant les noms de vos personnages, je vous conseille de les inventer, c’est plus prudent. Certaines personnes n’apprécieront sans doute pas de se retrouver dans votre roman, aussi passionnant soit-il.
Oui Edilivre est un éditeur sérieux, leur contrat est clair et bien détaillé, prenez le temps de lire toutes les clauses.
Je n’ai pas en mémoire toutes les conditions de cet éditeur et je ne peux pas m’exprimer en leur nom. Je vous invite donc à consulter leur site.
http://www.edilivre.com/deposez-votre-manuscrit.html?gclid=CjwKEAjwwN-rBRD-oMzT6aO_wGwSJABwEIkJUmTu9i0606pcHQ6urqv9xC60P_gY-HhClHOoxbuNShoCvxXw_wcB
Vous pouvez aussi obtenir ces informations au téléphone, car ils possèdent un numéro à votre disposition. N’hésitez pas à lister toutes vos questions, je suis sûr que vous obtiendrez une réponse.
Patrick
Bonjour!
J’ai lu quelques-uns des commentaires (pas tous) et je pense que personne n’a encore posée cette question:
Que pensez-vous de la maison d’édition « nouvelles plumes » ?
Bien à vous et vous remerciant d’avance pour votre réponse.
Sarah
Bonsoir Sarah,
Personnellement je ne connais pas cette maison d’édition. Je me suis rendu sur leur site, il semble que ce soit une maison d’édition à compte d’éditeur. C’est donc un bon point. Leur originalité par rapport aux maisons d’édition traditionnelles: un comité de lecture élargie (plusieurs dizaines de membres). Mais je n’en sais pas plus. Peut-être d’autres lecteurs pourront-ils vous renseigner.
Patrick
Bonjour,
Merci pour vos conseils ils vont fortement m’aider.
Néanmoins, j’aimerai savoir comment choisir une maison d’édition lorsqu’on écrit des aphorismes sur des sujets divers ?
Bonjour,
malheureusement je ne connais pas de maisons d’édition qui ont cette spécialité, il vous faudra faire vous-même les recherches sur internet ou en vous rendant dans une librairie où on saura sans doute vous conseiller.
Bonne recherche,
Patrick
Bonjour j’ai bientôt 13 ans et j’ai écrit un livre sur mon ordinateur, j’aimerais le publier. Du moins le montrer à une maison d’édition. Qu’est-ce-qu’il faut que je fasse ?
Bonjour Flavie,
pour publier ton livre tu trouveras de nombreux conseils sur mon blog en te rendant sur ce lien :
https://ecrire-un-livre.net/category/se-faire-publier/
le parcours est souvent long et difficile, mais ne te décourage pas !
Je souhaite plein de succès.
Bonjour Patrick,
Tout d’abord, merci pour vos conseils précieux. Comme beaucoup de gens ici, je suis passionnée par l’écriture et j’aimerais, un jour, faire éditer un roman.
Néanmoins, je m’oriente plutôt vers l’écriture de nouvelles. Pourriez-vous me donner quelques informations concernant la publication de recueils ? Y a-t-il des éditeurs spécialisés ?
Merci d’avance,
Gaëlle
Bonjour Gaëlle,
quel type d’informations souhaitez-vous concernant la publication de nouvelles ? Ce genre littéraire est assez répandu en Amérique du Nord, malheureusement en France et en Europe son développement est encore timide. Mais cela vient peu à peu, ne désespérons pas. C’est un art difficile que j’affectionne particulièrement, l’auteur doit saisir un instant, un moment très fort dans une vie, c’est un peu comme une photographie. Un de mes auteurs préférés dans ce domaine est l’américain Raymond Carver, mais il y en a beaucoup d’autres comme Richard Ford. A ma connaissance, il n’y a pas en France d’éditeurs spécialisés dans le nouvelle. Se faire publier dans ce domaine n’est d’ailleurs pas toujours très facile, les maisons d’édition se montrent souvent frileuses, faute de lecteurs et donc d’acheteurs. Mais je vous encourage à en écrire, plus il y aura d’auteurs se consacrant à la nouvelle et plus ce genre aura des chances de se développer en France.
Patrick
Bonjour,
Je suis tombée sur votre site un peu par hasard et il est vraiment bien. Merci pour les conseils.
J’écris des histoires courtes… du moins pour le moment… j’ai un projet de roman en cours et j’aimerai beaucoup avoir vos conseils si c’est possible. J’ai déjà fait lire mes histoires courtes à quelques amis et ils m’ont dit que c’était bien, que je devais faire quelque chose avec comme le publier. J’aimerai beaucoup mais je doute car je ne sais pas comment faire. Je suis dis que je pourrais peut-être en poster sur un forum d’écriture mais je n’en connais malheureusement pas.
Que dois-je faire ?
Merci d’avance
Bonjour Mikaëlla,
mon blog est surtout spécialisé dans l’écriture de récits de vie, mais vous trouverez d’excellents conseils concernant l’écriture de romans sur le site de l’écrivain Bernard Werber.
Bonne écriture
Patrick
Bonjour ,
je suis actuellement entrain d’écrire un livre qui a pour sujet le développement personnel , je souhaiterais par la suite trouver une maison d’édition pour le faire publier mais ma question est la suivante : puis je faire éditer mon livre dans plusieurs maisons d’édition à la foi ou est ce que une maison d’édition a l’exclusivité sur un livre ?
Merci par avance .
Anaïs
Bonjour Anaïs,
vous avez raison de vous soucier de ce point qui est important pour un auteur. Cela dépend du contrat de l’éditeur, examinez-le bien. Si votre manuscrit est accepté par une maison d’édition à compte d’éditeur, on vous demandera très probablement l’exclusivité.
Patrick
Bonjour à tous. J’ai douze ans et j’aime beaucoup écrire. Pourriez vous me donner des conseils, des critiques ou des des choses à améliorer sur ce début d’histoire ?
Je m’appelle Mirwenda mais on me surnomme Mira.
J’ai 17 ans.
Le monde va bientôt changer, et il ne sera plus jamais le même.
Chapitre 1
Aujourd’hui, c’est un vendredi. Un vendredi où je devrai passer une journée comme les autres en allant au lycée, puis en prenant mon cours de natation à la sortie. Un vendredi où je devrai revenir chez moi le soir et écrire des textos à Eva vautrée dans mon canapé… Mais non. Le destin n’en a pas décidé ainsi. Aujourd’hui, c’est le jour du Débarquement. Le jour qui va changer ma vie. Pas vraiment ma vie, mais plutôt celle de ces 490 000 jeunes enfants de moins de 10 ans qui vont partir ailleurs, loin d’ici. Ils ne reviendront jamais…
Tout a commencé il y deux ans quand une organisation de 10 000 personnes a déclaré la Terre en surpopulation. D’après elle, les ressources diminuaient alors que la population augmentait. Si l’on n’agissait pas, l’Humanité disparaîtrait dans deux siècles… Les membres de cette organisation ont alors proposé une démarche : créer un astéroïde capable de réduire la population à moitié : il serait ciblé en Asie de l’Est car ce continent regroupe presque la moitié des habitants et les pauvres sont ceux qui y vivent majoritairement. Pour eux, c’était soit ça, soit l’extinction de la race humaine dans deux siècles. Au bout d’un an de débat, ils parvinrent à obtenir un vote. Les résultats furent inconcevables : 26.6% de vote blanc, 35.85% contre, et 36.55 pour. L’astéroïde était lancé. Pour nous, tout allait au mieux, nous n’allions pas mourir et l’espèce humaine ne s’éteindrait pas. Pourtant, une petite voix au fond de moi me murmurait sans cesse : Ça ne se passera pas aussi bien que tu crois, Mira. Ne te donne pas de faux espoirs !
L’ADEH. C’était le nom de cette fameuse organisation à qui tout le monde faisait confiance (anagramme d’Association pour le Développement de l’Espèce Humaine).
Six mois plus tard, Gérard Spetzer, un astronome néerlandais, fit une découverte qui allait bouleverser le monde : après 60 ans de recherche, il avait enfin trouvé une planète regroupant les conditions favorables au développement de la vie. Même si son diamètre était deux fois plus petit que celui de la Terre. On décida alors de faire dévier l’astéroïde. J’étais si heureuse pour ces Asiatiques qui ne méritaient pas la mort ! De toute façon, personne ne la mérite.
Mon bonheur s’estompa vite… Il y a deux mois, lors de l’expérience qui devait faire dévier l’astéroïde, Gérard Spetzer mourut suite à un accident en vaisseau. Mais ce n’était pas ça qui me tracassait vraiment. Le problème, c’était que l’expérience avait échoué et qu’au lieu de dévier, l’astéroïde avait doublé de volume. A présent, il pouvait anéantir la Terre entière. C’est pour ça que l’ADEH a décidé de seulement envoyer ces 490 000 enfants de moins de 10 ans sur Terra 2, afin de faire renaître une nouvelle Humanité, plus saine à la nôtre.
Cette petite fille de 5 ans qui se tient debout devant moi en fait partie. Des larmes coulent infiniment de son visage rempli de taches de rousseurs. Elle semble avoir pleuré depuis longtemps et ses grands yeux verts sont à présent rouges et gonflés. Son visage reste beau, malgré qu’il soit un peu déformé par la tristesse et la peur. Elle a les cheveux blonds et le nez retroussé de ma mère, mais le reste de mon père. C’est une combinaison qui lui va à merveille. Vous devez vous étonner que je parle de mes parents ; mais c’est parce que cette fillette, c’est ma sœur. Elle s’appelle Lilwen. Eva dit qu’on se ressemble énormément, mais, moi, je ne trouve pas. À part mes cheveux blonds et mes yeux verts, je n’ai en rien en commun avec elle.
Je ne sais pas comment je pourrai vivre sans ma petite sœur, pourtant, ça va être le cas. On se regarde en silence pendant quelques secondes. Quelques longues secondes où le temps semble s’arrêter et où je repense à ma vie d’avant. Une vie calme, paisible. Voilà, maintenant c’est fini. J’espère au moins que les 27 jours qui me restent à vivre se passeront au mieux. Au bout d’un moment, j’interromps le silence en la serrant fort dans mes bras. Un peu trop fort peut-être parce que je l’entends pousser un gémissement. Tant pis. De toute façon, c’est la dernière fois de ma vie que je la vois. Ma courte vie de 17 ans… Elle s’écarte de moi, tremblante de la tête aux pieds puis me confie : « J’ai peur, Mira. » Ma vision se trouble, mes yeux sont maintenant baignés de larmes. En les refoulant vivement, je lui réponds : « Ne t’inquiète pas, je serai toujours là pour toi quoi qu’il arrive. Même si tu ne me vois pas, je serai présente au fond de ton cœur à jamais. » Je pose une main sur sa poitrine. Son petit cœur bat vite « Merci, bafouille-t-elle, tu vas me manquer. Promets-moi de vivre. » C’est la plus grande promesse qu’on ne m’a jamais demandé. Je ne suis pas sûre de la tenir mais je veux quand même lui redonner espoir. « Je te le promets, lui assurai-je. Toi aussi tu vas me manquer Lilwen. » J’ai dis cette 2ème partie si doucement que je ne sais pas si elle m’a entendu. En tout cas, elle m’adresse un dernier sourire et là je revois la lueur de ses yeux qui brillait lors des jours heureux. Ne craque pas, Mira. Je t’interdis de pleurer. Je la suis du regard, et elle part dire au revoir à mes parents. Ils sont là derrière nous, en se tenant la main. Mon père prend Lilwen dans ses bras et la fait tourner dans les airs, comme au bon vieux temps. Il la repose et lui murmure quelque chose à l’oreille si doucement que j’arrive seulement à distinguer les mots « vivre » et « confiance ». Ça doit être positif puisqu’ils sourient tous les deux en s’écartant. Soudain, une sonnerie retentit. C’est l’heure, les enfants élus doivent se rendre à la passerelle qui va les conduire à bord des Explorateurs, ces fameux vaisseaux qui vont les emmener loin d’ici. Ma sœur va quand même voir ma mère qui l’embrasse en lui lâchant : « Ma chérie, Dieu sera à tes côtés quand tu en auras besoin. » En guise de réponse, Lilwen lui envoie un sourire, mais forcé. Elle doit se rendre à la passerelle 65. On a quand même le droit de l’accompagner avant qu’elle parte. Soudain, je me sens mal. Le bruit des cris des gens autour de moi bourdonne dans mes oreilles et la chaleur est étouffante. Je ne vous l’ai sûrement pas dis, mais je suis claustrophobe. Un homme vêtu en blanc -probablement de la sécurité- prend Lilwen par la main et l’amène en direction de l’Explorateur. Elle se retourne pour nous adresser un dernier petit signe de main et nous regarde avec des yeux plus implorants que jamais. Elle disparait à l’intérieur de l’appareil parmi ces milliers d’enfants. C’est trop pour moi. Je pars en bousculant les gens autour moi. J’entends ma mère m’appeler mais je ne me retourne pas. Je cours. Aussi vite que mon corps me le permet. Je ne sais pas où je vais, mais en tout cas, je pars assez loin d’ici pour ne plus entendre le bruit que font tout ces gens. Maintenant, je me dis que ça ne servait à rien que je pleure. Ça NE LA ramènera pas.
Je lui ai promis de vivre.
Je tiendrai cette promesse, quoi qu’il arrive.
Chapitre 2
J’ai décidé d’aller à l’aire de jeu où j’accompagnais ma sœur quand il faisait beau. Je me suis assise sur la balançoire rouge sur laquelle on jouait à se balancer le plus loin possible. Je repense à mes parents. Je ne sais pas si je devrai leur en vouloir ou bien les féliciter de leur comportement neutre. Depuis qu’ils ont appris que l’astéroïde allait s’écraser, ils n’ont pas craqué une seule fois, mais ils n’ont exprimé aucune émotion non plus. La seule chose qu’ils m’aient dite est : « Ne t’inquiète pas ma poupée, tout va bien se passer. » C’est ça ouais… Normalement, tous les habitants de la Terre (à part les 490 000 enfants partis dans les Explorateurs) devraient mourir dans 28 jours, mais à part ça, tout va bien. Parfois, je ne les comprends pas.
Il faut je réfléchisse à comment échapper au désastre… Je l’ai promis à ma sœur.
« -Mira ! Ze veux monter en haut de la balançoire comme toi, aide-moi à monter ! me dit Lilwen avec un regard suppliant. Je déclare, imposante : -Non, tu es trop petite mon chou… Tu pourrais te faire mal ! -C’est pas zuste ! Si maman te voyais faire ça, elle te gronderait. J’aime trop quand ma petite sœur boude : avec ses grosses joues rosées, on dirait le bébé chien saint-bernard de la voisine, Willy. Zut ! J’ai oublié d’acheter le pain. Maman ne va pas être contente… A moins que j’aille le chercher. Quelle heure est-il ? 18h53. La boulangerie ferme à 19h00 mais elle est en face. Il faut que je me dépêche.
J’indique à ma sœur : -Je dois aller à la boulangerie. Je reviens dans 5 minutes. Ne fais aucune bêtise, d’accord ? – Oui, murmure t-elle. Elle ne me regarde pas dans les yeux, ce qui ne présage rien de bon. Tant pis, il me reste peu de temps.
Je pars en trottinant vers la boulangerie. La vendeuse est en train de fermer. Vite. 18h58. Je cours le plus vite possible. Aller plus que 100 mètres. Heureusement que je suis rapide en sprint. Je crois que ça va me sauver d’une dispute en rentrant à la maison. Ouf, je suis arrivée.
-Bonjour ! m’exclamai-je, essoufflée – Bonsoir, me répond-elle sans me jeter un regard.
Ah oui. Je ne sais pas vous, mais moi, je ne supporte pas les gens qui vous disent bonsoir alors que vous venez de dire bonjour. C’est du foutage de gueule. Je reprends, beaucoup moins poliment :
-Une baguette saucisson pas trop cuite, s’il vous plaît. – Elles sont toutes pareil, beugle t’elle. C’est 1.20 euros.
Elle pose la baguette sur le bar. Je l’observe un moment et j’en déduis qu’elle doit avoir une trentaine d’années. Je pense que si les lois contre la violence n’avaient pas existées, je lui aurais déjà mis une droite. Je pose l’argent et ramasse la baguette avec une expression neutre.
Au revoir, dis-je quand même.
En sortant, je ne vois pas Lilwen au loin. Mais où est elle passée. Et soudain je l’aperçois, mais pas où est censée être. Oh non.
-Lilwen, ne bouge pas ! m’écriai-je en courant. -Mais tout va bien, j’ai réussi à monter comme toi, je t’avais dis ! rétorque Lilwen.
Elle est à plus de deux mètre du sol, si elle tombe, elle pourrait vraiment se blesser. C’est bon, je ne suis plus qu’à 20 mètres. Soudain, elle glisse et ne tient plus qu’à l’aide de ses mains. -Mira ! Aide moi je tombe… réclame t’elle. -J’arrive, tiens le coup !
Au moment où je vois ses petits doigts se décoller de la barre, je me jette le plus loin possible vers elle. J’ai toujours été médiocre au saut en longueur, j’espère que ça n’influencera pas… Je m’écrase lourdement contre le sol. Je sens le piquant des cailloux s’enfoncer dans mon corps puis un poids tomber lourdement sur mon dos. Ouf, j’ai réussi à amortir son choc. Tout à coup, une douleur me lance à la tête. Je me suis cognée. J’entends ma sœur me souffler merci mais ma vison se trouble, ma tête me tourne puis je n’arrive plus à distinguer aucune de ses autres paroles.
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Je me réveille en sursaut trempée de sueur. J’ai du m’endormir. Oh ce rêve… ou plutôt ce souvenir… Cela s’était passé il y a un an. Par la suite, j’étais tombé dans les pommes et ma sœur a appelé une personne dans la rue (c’était à mon grand malheur la boulangère alors qu’elle entrait dans sa voiture) qui a appelé l’ambulance. Résultat : j’ai eu une commotion cérébrale et on avait plus le droit de s’amuser ici. Du coup, c’est la première fois que j’y reviens depuis l’accident.
Je jette un coup d’œil à ma montre. Quoi ?! Déjà 19h00 ! J’ai dormi pratiquement deux heures. Il faut que je rentre chez moi. Je réfléchirai se soir et à mon plan d’évasion. Ah oui, j’ai certainement oublié de vous préciser que la vie continue pourtant normalement autour de nous. En gros ce que je veux dire, c’est qu’on doit continuer à aller au lycée jusqu’à ce que… bref vous avez compris.
Il y a trois points positifs pour moi là dedans : – Je vais pouvoir voir Eva : on est inséparables. – Je pourrai faire part de ma théorie aux personnes qui veulent me suivre. – Je pouvoir observer une dernière fois Dylan Hilton
Bravo, quelle imagination !
J’espère que les lecteurs du blog sauront apprécier et te faire part de ce qu’ils ont ressenti en te lisant.
Patrick
bonjour,Aliona,moi c’est lindia et j’ai 13 ans.
je suis passionner comme toi:l’Ecriture.
j’ai trouver super ton début de romans!!!
continue comme ça!!! je t’encourage fort!!!
moi aussi,j’ ai commençait mon premier romans
a l’age de 12 ans, donc l’année derniere
j’en suis a ma 60 ème page,si tu veut j’aimerais
parler un peu plus avec toi,car mes amies ne son pas spécialement
intérreser par l’Ecriture de livre…
j’espère que l’on vas discuter,on a encors beaucoup a apprendre
sur se métier…
bonne continuation!!! et j’espere parler avec toi: lindia 13ans.
Bonjour,
J’aimerais éditer par la suite le roman que je conçois en ce moment mais je me demandais quel police d’écriture choisir ? Est-ce que je dois en privilégier une en particulier?
Merci
Bonjour Charlotte,
vous avez raison d’attacher de l’importance à la police d’écriture pour la publication de votre roman, le confort de lecture en dépend.
Les polices les plus utilisées sont Times New Roman, Arial, Verdana, Garamond, Georgia. Pour vous faire une idée, essayez-les toutes et adoptez-en une au feeling. Pour ma part, j’utilise Calibri, mais ce choix reste très personnel. Autre conseil : gardez la même police pour l’ensemble de votre roman.
Patrick
Bonjour Patrick,
tout d’abord félicitations, pour votre patience, votre courtoisie, votre abnégation, votre orthographe, votre positivité m et surtout vos conseils.
Cependant, j’ai quelques questions différentes à poser, j ai bien lu tout auparavant pour ne pas faire de redites.
J ai enfin terminé mon premier roman et je veux le faire éditer au compte de l éditeur comme conseillé.
Mes questions sont
1) J aimerais tenter les grandes maisons gallimard car j aime la promesse de l aube de Garry, Albin Michel pour Nothomb et Weber et autres, le Seuil notamment pour le jardin de l aveugle, laffont. ..
Dois je envoyer mon manuscrit à toutes ces maisons? Disons ces 4 là…et j ai.une chance de gagner à la loterie…J ai envie d y croire.Ou dois je essayer l en envoyer à de plus moyennes maison d’éditions (ou les 2) mais lesquelles ont le vent en.poupe sont petites mais dynamique et prometteuses et présente partout? Étant plus petites on lit moins d ouvrage les concernant. Étant donné que je lis beaucoup chez livre de poche et folio je ne sais où tenter ma chance…Ou dois je l envoyer à un maximum de maisons. On dit que les grandes sont plus impersonnelles et qu on peut plus vite disparaître. Mieux vaut être bien vu chez une petite et moyenne et s envoler ensuite? Ça fait une grande question…
2) Je remarque que beaucoup d auteurs sortent chez une grande maison puis ensuite chez livre de poche comme Amélie Nothomb, Édouard Louis et bien d autres. Est ce un accord entre ces grandes maisons (livre grand format) vers livre de poche, est ce un choix des auteurs de se faire éditer chez deux éditeurs différents, ou bien et c est la ma question principale pourrait il être judicieux et est ce possible d ailleurs de passer directement chez livre de poche, ou pocket. ..? Est ce plus facile? J imagine que ça générerait des revenus moindres vus les prix de vente des livres de poche mais peut être une meilleure diffusion, plus de livres vendus, plus de visibilité, pour se faire connaître au début du public?
3) Enfin même si on a le bonheur d être édité par une grand maison, pendant combien de temps le livre est il vente? Est ce la maison d édition qui inscrit le livre aux différents prix littéraires? Et encore je ne suis pas pressé, y a t il une date propice pour envoyer son manuscrit par exemple si on veut paraître à la rentrée littéraire de septembre?
Ça fait beaucoup de questions je m en excuse mais je suis vraiment sur le point de passer par la et des conseils avisés me seraient en précieux. Pouvez vous me communiquer les références de votre livre? Et m’aiguiller donc sur le choix gros éditeurs ou moyen avec plus d audace et de dialogue et sur mon interrogation sur le livre de poche. Merci.
Bonjour Ludovic,
1) Je vous conseille d’envoyer dans un premier temps votre manuscrit à de grands éditeurs, à condition toutefois que leur ligne éditoriale corresponde au genre de votre roman.Pour cela, examinez attentivement leurs différentes publications. Envoyez votre texte au moins à 4 ou 5 éditeurs en même temps, car les délais de réponses sont souvent très longs. Dans un second temps, en cas de réponses négatives, envoyez votre manuscrit à des éditeurs plus modestes, mais tout aussi sérieux.
2) vous ne pourrez pas publier directement en livre de poche. C’est votre éditeur qui décidera (si votre roman marche bien) de lui donner une seconde vie en l’éditant quelques mois plus tard sous le format poche.
3) Oui c’est l’éditeur à compte d’éditeur qui prendra en charge la promotion de votre livre : séances de signature, présentation à des prix littéraires, etc. Votre livre sera en vente tant qu’il y aura des demandes. Mais être en vente ne veut pas forcément dire être bien placé sur les rayons des librairies. Il peut être seulement disponible sur commande. Tout dépend du succès de votre livre.
Pour savoir s’il y a de meilleures périodes que d’autres pour envoyer un manuscrit, je vous invite à cliquer sur ce lien :
http://manu-ecrit.fr/quand-envoyer-son-manuscrit/
Voilà, j’espère avoir répondu à vos questions, je vous souhaite plein de succès.
Patrick
Bonjour
J’aimerais me faire publier à l’avenir mais je ne comprend pas trop toutes ces histoires d’editeurs à comptes d’editeur ou auteurs
Il faut payer pour se faire publier ?
Ou est ce que chez certains editeurs on peut se faire éditer gratuitement?
Bonjour,
il y a trois manières de publier un livre :
édition à compte d’éditeur (gratuit)
édition à compte d’auteur (payant)
autoédition ( vous êtes votre propre éditeur).
Pour en savoir plus lisez cet article : https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/comment-trouver-un-editeur/
ou faites l’acquisition de mon guide numérique : comment trouver un éditeur.
Patrick
Est-ce qu’il faut faire authentifier son livre avant de l’envoyer pour ne pas prendre le risque de la voire sans notre nom ? 🙂
Bonjour Julie,
que voulez-vous dire ? Avant d’envoyer son livre à qui ? A un éditeur ? Si vous craignez qu’on vous vole votre idée et qu’on s’approprie votre livre vous pouvez le protéger. Cet article vous dira comment faire : https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/autoedition-quelles-formalites-pour-publier-son-livre/
Patrick
merci a vous qui a crée ce site, cela faisait longtemps que je voulais écrire une histoire je me suis lancé dernièrement et j’ai constaté que c’était un vrai boulot mais aussi une joie d’écrire et je voulais savoir pour la protection de nos « œuvres » et vous m’avez répondu ainsi que comment envoyé nos œuvres a un éditeur. Je suis une personne dyslexique et je trouve que c’est un bon moyen pour moi d’avancer et de ne plus faire de fautes de français même si a 26ans j’en fais encore. Donc merci a vous. cela m’encourage vivement a continuer mon projet
Bonjour,
Très intéressant ce site.
J’aurais voulu savoir comment protéger son roman ? Faut-il l’enregistrer auprès de la SABAM par exemple avant de l’envoyer à un éditeur ou faut-il attendre une réponse de ce dernier avant de le faire ?
Merci
Bonjour Olivier.
Il y a plusieurs façons de protéger votre roman. Dans cet article, vous trouverez des informations à ce sujet :
https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/autoedition-quelles-formalites-pour-publier-son-livre/
Bien sûr, si vous avez l’intention de protéger votre roman, faites-le avant de le présenter à des éditeurs. Ainsi, vous serez plus tranquille.
Patrick
Bonjour, j’écris depuis mon plus jeune âge et ai déjà terminé plusieurs manuscrits. Je les ai fait relire par des amies, ma mère ou encore quelques extraits à ma prof de français ; j’en reçois des commentaires plutôt positifs mais je n’ai jamais posté un seul de mes écrits sur des sites de lectures (du genre Wattpad ou encore Fyctia).
Je viens tout juste de finir un autre de mes « livres » et suis assez satisfaite de mon travail. J’aimerai donc savoir si j’ai une chance de me faire publier (puisque je n’ai que seize ans).
Merci d’avance,
Cordialement,
Emma Caroline.
Bonjour Emma Caroline,
difficile de mesurer les chances d’être publié ou non, cela dépend de tellement de critères et du type d’éditeur à qui vous allez confier votre manuscrit. Une chose est sûre : envoyez votre manuscrit à plusieurs éditeurs en même temps et persévérez. Des auteurs parfaitement inconnus ont été publiés en envoyant leur texte par la poste et ont aujourd’hui beaucoup de succès. Sinon, l’âge n’a pas d’importance, seule la qualité du texte entre en ligne de compte.
Patrick
Bonjour Patrick,
Je trouve votre site très utile afin d’éviter les nombreux pièges de l’édition pour ceux qui souhaitent pouvoir vivre de leurs écrits. Mon projet n’est pas de publier des romans car je manque d’imagination, mais plutôt une autobiographie en plusieurs parties.
En tant que spécialiste des récits de vie, auriez-vous le temps de répondre à quelques questions que je me pose ?
1) Est-il possible d’envoyer par mail ou par courrier, aux maisons d’édition un petit résumé de mon autobiographie, plutôt qu’un tapuscrit qui ferait une centaine de pages (et que je n’ai pas encore écrit) ?
2) Quelles sont les maisons d’édition à compte d’éditeur qui se sont spécialisées dans les autobiographies certes intéressantes, mais de personnes anonymes ?
3) Quel sont les avantages à proposer mon livre en format uniquement numérique dans un premier temps ?
4) Que pensez-vous de mettre mon récit sur un site internet chaque semaine afin d’intéresser le public, et surtout de me faire repérer par un éditeur (qui en rachèterais les droits) en vue de le publier sous compte d’éditeur ?
Merci beaucoup de votre aide précieuse
Bonjour Jean
Je vais essayer de répondre à vos questions en prenant l’hypothèse que vous vous adressez uniquement à des éditeurs à compte d’éditeur.
1) Généralement, les maisons d’édition ne se contentent pas d’un résumé pour décider de publier un auteur. Elles veulent avoir sous les yeux le texte dans son ensemble pour pouvoir juger de sa qualité et de son intérêt. Une exception tout de même, si le récit de votre vie est vraiment hors du commun et peut susciter auprès de lecteurs un intérêt exceptionnel. Dans ce cas, il est probable que la maison d’édition s’intéresse de près à votre projet.
2) A ma connaissance, il n’y pas de maisons d’édition spécialisées dans les autobiographies ou témoignages de personnes anonymes. Un grand nombre de maisons d’édition publient de tels ouvrages sans s’en faire une spécialité.Pour connaître ces maisons d’édition, rendez vous par exemple dans une librairie et regardez le nom des éditeurs qui ont publié des témoignages ou récits de vie. Vous pouvez aussi vous rendre sur Amazon en cliquant par exemple sur ce lien :
Il vous suffit alors de noter le nom des éditeurs qui ont publié des ouvrages proches du vôtre, il est toujours indiqué.
3) En publiant votre livre au format numérique, vous en vendrez peut-être davantage, car le prix de vente sera plus bas. Mais vous vous priverez aussi des lecteurs qui sont allergiques au numérique ou qui, tout au moins, préfèrent de loin la version papier. Je vous conseille donc de faire les deux. Le seul avantage que je vois à publier uniquement au format numérique est financier et vous concerne. Vous n’aurez pas de frais d’impression.
4) Malheureusement, il ne suffit pas de mettre son livre sur un site internet (même sur le site de la grande librairie Amazon) pour qu’il soit vendu. Encore faut-il en faire la promotion. Cependant, il est vrai que des auteurs inconnus qui avaient publié sur Amazon à compte d’auteur se sont fait repérés par de grands éditeurs et ont eu ensuite un grand succès de librairie. Mais, c’est parce qu’ils avaient vendu un très grand nombre d’ouvrages en rameutant famille, amis et amis d’amis. C’est le cas d’Agnès Martin-lugand dont le premier roman a été repéré par Michel Lafon après avoir été publié à compte d’auteur sur Amazon. Depuis, elle a sorti un second roman, toujours chez le même éditeur. http://www.amazon.fr/gens-heureux-lisent-boivent-caf%C3%A9/dp/2266243535/ref=zg_bs_301132_34
Voilà, j’espère avoir répondu à peu près à vos questions.
Patrick
Merci Patrick, vous avez effectivement répondu à (presque) toutes mes interrogations. Ma question 4 signifiait plutôt : que pensez-vous de mettre gratuitement chaque semaine un chapitre de mon récit sur un site internet afin d’intéresser les lecteurs et ainsi espérer décrocher un contrat pour en publier la totalité ? Ça a peut-être même déjà été fait, mais je n’ai pas d’exemple en tête
Encore merci pour votre disponibilité
Bonjour Jean,
c’est une bonne idée, encore faut-il que le site soit visité par de nombreuses personnes et surtout des éditeurs.
Ne révélez pas non plus tout le contenu de votre livre, laissez du suspens.
Patrick
Bonjour,
j’ai 20 ans et j’aime beaucoup écrire également.
J’avais dans l’idée de publier un manuscrit mais je suis perdu, comment faire, par quoi commencer, faut-il un nombre de page minimum ?
Si vous pouvez me conseiller.
Merci d’avance.
Bonjour Cathy
Si vous ne savez pas par où commencer, ces deux articles vous aideront peut-être :
https://ecrire-un-livre.net/conseils-pour-ecrire/ecriture-comment-prendre-un-bon-depart/
https://ecrire-un-livre.net/conseils-pour-ecrire/ecrire-un-livre-oui-mais-par-ou-commencer/
Non, il n’y a pas de nombre de pages minimum, seule importe la qualité et non l’épaisseur en matière d’écriture.
Patrick
(suite de mon dernier message)
J’ai utilisé des noms pour mes personnages et quelques références à des lieux tirés de certaines séries que je regardent, ai-je le droit de le faire si je veut publier un livre ?
Bonjour Cathy,
oui vous pouvez utiliser des lieux et des noms de personnage figurant déjà dans des séries à condition que ce ne soit pas systématique. Autrement dit de ne pas copier intégralement, mais juste de vous en inspirer en reprenant certains noms.
Patrick
Bonjour, merci pour ces judicieux conseils… Mon livre a été publié mais je souhaiterai le proposer à d’autres éditeurs car les libraires refusent de travailler avec mon éditeur, n’appréciant pas ses conditions de vente. Est-ce possible? Comment procéder? Rompre mon contrat avec lui me donne-t-il le droit de le faire publier ailleurs? Cela se pratique-t-il?
Merci de votre réponse.
Cordialement
Chris
Bonjour Chris
La première chose à faire est de vous renseigner sur la nature du contrat, est-ce un contrat d’exclusivité ? Si ce n’est pas le cas, vous pouvez proposer votre ouvrage à d’autres éditeurs.
S’il s’agit d’un contrat d’exclusivité, voici quelques informations qui pourront vous aider. Elles sont tirées du site de la SGDL (Société des Gens De Lettres), dont voici le lien : http://www.sgdl.org/juridique/f-a-q/1681-la-fin-du-contrat-d-edition
Il faut distinguer les cas pour lesquels l’auteur souhaite obtenir la résiliation du contrat. Le contrat peut prendre fin de plein droit dans des cas prévus par la loi. En dehors de ces cas, l’auteur doit saisir un tribunal pour faire reconnaître les fautes contractuelles de l’éditeur et obtenir une décision judiciaire qui prononce la résiliation. Notons toutefois qu’il est toujours possible de mettre fin à un contrat d’édition à l’amiable, lorsque l’auteur et l’éditeur sont d’accord pour arrêter leur collaboration.
Les cas de résiliation de plein droit prévus par la loi sont les suivants :
lorsque l’éditeur n’a pas procédé à la publication de l’ouvrage (Article L 132-17 CPI)
lorsque l’ouvrage est épuisé et que l’éditeur n’a pas procédé à sa réédition malgré deux demandes de livraison d’exemplaires non satisfaites (Article L 132-17 CPI)
lorsque l’éditeur est mis en liquidation judiciaire ou lorsque l’activité de l’éditeur a cessé depuis plus de trois mois (Article L 132-15 CPI)
Pour les manquements de l’éditeur sur d’autres fondements (défaut de promotion, défaut d’exploitation, absence de redditions de comptes), et à défaut d’accord amiable, l’auteur doit demander la résiliation judiciaire du contrat devant un tribunal. Il doit alors apporter la preuve de l’inexécution des obligations contractuelles de l’éditeur.
Patrick
Bonjour super site, je voudrais savoir si vous avez un numéro d’un éditeur? Je voulais aussi savoir si un imprimeur fait notre livre il y aura une couverture? Y a t il des imprimeurs ou des editeurs gratuit ou qui nous paye car ils aiment nos livres ?
Bonjour Hakim,
prenez le temps de lire le blog, je suis sûr que vous aurez des réponses à toutes vos questions.
Malheureusement, je ne donne pas de coordonnées d’éditeur, il y en a beaucoup et tout dépend de la nature de votre livre et de vos objectifs.
Patrick
Cher Patrick
Je viens de parcourir votre site avec quelques réponses à mes questions. J’ai écris un mémoire de 180 pages. (Etudes paramédicales). Plusieurs personnes m’ont conseillé de le publier ou d’en faire un livre simple de lecture. Je touche le public féminin de par cette pathologie qui n’a été dépeinte qu’aux Etats-Unis ou l’on y apporte une vive importance (sauf en France).
Mon but étant d’être entendue et que les femmes atteintes de ce mal puissent enfin se retrouver dans les lignes de mon livre avec conseils thérapeutiques naturels etc.
Je ne sais vraiment pas par quoi commencer. Dois je écrire et terminer mon manuscrit (depuis mon mémoire) ou dois je présenter mon idée de livre (pré-sommaire plutôt qu’un manuscrit déjà fini) pour permettre à l’éditeur de définir avec moi la manière la plus adaptée de présenter mon sujet et d’organiser les propos? Qu’est ce qu’une positionning letter exactement? Un pré-sommaire, sypnosis? Puis je déposer l’idée (en gros le mémoire) à la SACD avant de finir mon manuscrit?
En vous remerciant 1000 fois de votre aide
Cordialement
Laurence
Bonjour Laurence
Si pour publier un roman, il est préférable (lorsqu’on est pas un auteur connu) d’envoyer son manuscrit terminé aux éditeurs, il en va différemment pour les ouvrages pratiques tels que le vôtre. Je vous conseille de faire un résumé (synopsis) et un plan détaillé de votre futur livre. Cela suffira amplement à votre éditeur. S’il est intéressé par le sujet, il vous donnera alors rendez-vous pour réfléchir avec vous à la conception et à la construction de l’ouvrage. C’est d’ailleurs ce que vous suggérez. Je ne connais pas l’expression anglaise « positionning letter », je suppose qu’il s’agit d’une lettre d’intention. Autrement dit d’un courrier dans lequel vous expliqueriez vos intentions quant à la ligne directrice et aux messages délivrés dans le livre.
Oui vous pouvez déposer déjà l’idée de votre futur ouvrage à la SACD.
Patrick
Bonjour et Merci pour ces précieux conseils. J’ai terminé il y a peu de temps de retracer sur papier le récit de ma grossesse. Je pense que beaucoup de femmes pourraient se retrouver dans ces lignes écrites souvent sur le ton de l’humour. Avez vous des conseils particuliers concernant ce type d’écriture plutôt autobiographique? Cordialement.
Bonjour Pauline
C’est une très belle idée de raconter votre grossesse. Ce sera un beau témoignage pour votre enfant lorsqu’il sera en âge de le lire, d’autant plus que vous y avez mis de l’humour. Je n’ai pas de conseils particuliers à vous donner, mais vous aimerez peut-être ce blog qui donne la parole aux futures mamans :
http://www.mygrossesse.com/temoignage-grossesse/trois-grossesses-vraiment-differentes-temoignage-de-maman-4382.html
Patrick
Bonjour et merci pour ce blog très instructif. Je viens de faire une amer déconvenue avec un éditeur.Certain ce cache derrière un beau sourire et une belle façade. Cette éditeur dont je terrais le nom, m’a demandé de les contacter, j’avais d’ailleurs reçu un courriel (que je peux vous transmettre sur simple demande) me laissant pensé que mon tapuscrit avait touché sa cible. Au cours de l’entretien téléphonique, le directeur de publication m’a demandé 4000 € pour publier mon livre, et ma soutenu qu’il ne travaillait pas à compte d’auteur… Alors ou se trouve la différence entre les uns et les autres ?
Maintenant je me pose beaucoup de question, mon livre est-il aussi intéressant que ce Monsieur me la laissé entendre(3/3 avis positif)? Ou jouait-il un rôle ? Son courriel était-il sérieux ?
Bref, un grand doute vient de s’installer…
Bonjour
En effet, il est surprenant qu’un éditeur à compte d’éditeur vous demande de l’argent. Cherchez l’erreur … Qui plus est, la somme demandée semble considérable. Vous a-t-il adressé un devis en détaillant les différents postes ? D’autre part, il est vrai que certains éditeurs à compte d’auteur ont la fâcheuse tendance à trouver les manuscrits de leurs futurs clients « géniaux », on devine pourquoi. Heureusement, tous les éditeurs à compte d’auteur ne sont pas à ranger dans le même panier, il y en a qui font leur travail honnêtement et avec sérieux, même s’ils sont encore trop rares. Bien sûr, vous pouvez m’envoyer une copie du courriel. Vous trouverez mon adresse mail en vous rendant dans la rubrique contact.
Patrick
C’est vrai, beaucoup d’auto éditeurs demandent de l’argent… Ca devient un vrai business..
Apres il est tellement difficile de se faire éditer…
J’avais envoyer un bout de mon manuscrit à plusieurs maisons, et Robert Laffont m’avait contacté pour demandé d’envoyer l’ensemble du roman..; Seulement, voilà, j’ai mis 2 ans pour le finir…
Enfin..
J’ai utilisé les service de http://www.lagent-litteraire.com/pour avoir un bon compte rendu,sur conseil d’un ami. Ca coute un peu de sous mais au moins j’ai eu le droit à une critique détaillée…
Dur à accepter mais bon…. Faut continuer, courage à tous!
Bonjour Lucas
Merci pour cette info. Vous d^tes que vous avez eu un bon compte-rendu, mais vous ne nous dîtes pas si cela vous a permis d’être publié.
Si des lecteurs ont déjà fait appel à un agent littéraire, leur témoignage sera le bienvenu.
Patrick
Bonjour,
Je traduis un best-seller allemand et autrichien. Dois je le notifie le fait que ce soit un best-seller ?
Est ce un avantage pour la maison d édition? A savoir que la personne n est pas connu en France.
Autre question sur un prix de vente de 9 € combien gagne net environ l auteur
Et enfin pour les premiers exemplaires , dois je fournir de l argent à la maison d édition pour publier les livres au début ?
Merci
Bonjour Benoit
Oui, vous pouvez bien entendu signaler à la maison d’édition qu’il s’agit d’un best-seller. L’éditeur pourra lui-même le vérifier et sera plus enclin à publier un ouvrage qui a du succès, même à l’étranger et même si l’auteur est peu connu en France.
Le montant des droits d’auteur se situe généralement entre 8 et 10% du prix de chaque ouvrage vendu.
S’il s’agit d’un éditeur à compte d’éditeur, vous n’avez absolument rien à régler, ce qui n’est pas le cas chez un éditeur à compte d’auteur.
Patrick
Merci de votre réponse. Le livre c est vendu à plus de 100000 exemplaires. Donc gros succès. Question bête: est il préférable de faire appel à une grosse ou à une petite maison d édition dans mon cas ? J ai cru comprendre que les petites maisons d éditions faisaient plus de pub sur le net . Édilivre a indiqué que 3000 livres était déjà un gros succès alors j hésite à faire appel à eux si il faut en produire 30 fois plus … Qu en pensez vous ? Édilivre permet contre un supplément, un peu de publicité , je trouve ça pas mal est ce que tous les éditeurs le propose egalement ? Quels sont les moyens pour promouvoir un livre?
Bien cordialement
Bonjour Benoit
Les éditeurs qui disposent d’un important budget de publicité sont généralement les grandes maisons d’édition à compte d’éditeur comme Flammarion, Fayard, Actes Sud, Gallimard, Hachette, etc. Bien sûr, ils n’investissent pas autant pour tous les ouvrages qu’ils publient. Ces éditeurs consacreront généralement moins d’argent à la promotion d’un premier roman qu’à l’ouvrage d’un auteur connu. Concernant les petits éditeurs à compte d’éditeur, il n’y a pas de règle. Certains, même avec peu de budget, mettront toute leur énergie et tout leur temps à promouvoir un ouvrage.
Concernant les éditeurs à compte d’auteur, la promotion est souvent leur point faible. Je ne parle pas pour tous bien entendu. C’est pourquoi je conseille à un auteur qui ferait appel à un éditeur à compte d’auteur, avant de signer tout contrat, de s’informer en détail sur la façon dont son livre sera promu. Concernant Edilivre, ils ont le mérite d’être transparent en précisant qu’ils ne font pas la promotion des ouvrages. Excepté, comme vous le dîtes, en facturant un supplément, ce que j’ignorais. Je ne connais pas le contenu de leur démarche promotionnelle dans ce cas, mais à mon avis il est important que vous vous le fassiez préciser.
Pour répondre à votre question : grosse maison d’édition ou petite ? Tout dépendra des moyens mis en œuvre pour la promotion de votre ouvrage. Il est parfois préférable de travailler avec un petit éditeur qui aura la foi et se démènera pour promouvoir votre ouvrage qu’à un éditeur plus important qui se sentira moins impliqué.
Patrick
Cher Monsieur,
Merci pour cet article très intéressant, et pour le temps que vous consacrez à ses lecteurs.
J’ai écrit le début d’un livre de science-fiction, ou plutôt le début de ce que je vois comme une longue saga de plusieurs livres.
Je me débrouille en anglais, pour avoir vécu aux USA, mais le français est ma langue maternelle, et donc par défaut celle que j’ai choisi pour ces premiers chapitres.
Je n’ai trouvé sur internet aucune information sur des auteurs qui faisaient le choix d’écrire en anglais alors que ce n’était pas la langue qu’ils maîtrisaient le mieux: à l’évidence me marché est plus grand, mais de manière tout aussi évidente il semble logique d’écrire dans la langue qu’on maîtrise le mieux … Avez-vous un avis, une recommandation ?
Bien à vous, et à nouveau merci pour votre temps et vos conseils.
Thomas
Bonjour Thomas
A moins de maîtriser parfaitement une seconde langue, je conseille généralement d’écrire dans sa langue maternelle. Bien entendu le marché du livre anglophone offrira de plus nombreux débouchés à vos ouvrages que le marché francophone, mais rien ne vous empêche par la suite de faire traduire votre livre par une personne dont c’est le métier.
Patrick
Salut , j’ai que 13 ans et j’aimerais faire editer mon manuscrit de science fiction , je connaît rien aux maisons d’edition si vous pouvez me donner des maisons d’edition de science fiction en normandie je suis preneur merci .
Bonjour Valère
Désolé je ne connais pas de maison d’édition spécialisée dans la science fiction en Normandie, mais pourquoi vous limiter à la Normandie ? Peu importe la distance avec l’éditeur puisque vous pouvez lui envoyer votre manuscrit par la poste ou par mail.
Patrick
PS : vous m’avez envoyé un long extrait de votre histoire, mais je ne peux malheureusement pas le publier sur ce blog. Cet espace est essentiellement réservé aux questions ou aux témoignages des lecteurs.
d’accord je comprends merci des ces précieux conseils .
Valère
Bonjour Patrick,
ayant vécue une enfance très difficile j ai eu ce besoin de me libérer par l écriture.
j ai donc écrit un récit, le récit d une partie de ma vie à un moment où pour moi l écriture fut une vraie thérapie.
Ce qui au départ n’était qu un journal intime,s est au fil des années transformé, au fur à mesure que les mots interdits, couchés sur papier me permirent cette prise de recul nécessaire à un mieux vivre.
Aujourd hui la dernière pages est bouclée, et je me rends compte que ce récit n aurait pas de sens s il ne rencontrait pas ses lecteurs.Dans un premier temps l essentiel est donc de pouvoir publier environ 5 exemplaires pour les donner à qui de droit afin de briser ce silence forcé.
Sachant qu’ aujourd hui pour moi le temps presse d enfin pouvoir leur faire lire ce livre je me demandait comment y parvenir au plus vite ( je souhaiterais leur donner sous forme de livre, car ça semblerait plus fini)
J ai lu que vous conseillez pour quelques exemplaires seulement de se tourner directement vers un imprimeur.Mes questions sont les suivantes:comment puis trouver un imprimeur? Est ce que je peux amener mon récit (environ 230 pages world mais avec un grand interlignes) sur une clé usb? Ou doit je lui amener d abord une version imprimée?
Est ce que l imprimeur me le mettra sous forme de livre? (Avec une couverture…etc)
D autre part je souhaite pouvoir l éditer à plus grande échelle par la suite et voyant que vous déconseillez les éditions à compte d auteur,est ce que même si je publie mon livre par un imprimeur pour ces quelques exemplaires urgents pour moi, je pourrais par la suite espérer une publication plus large par un éditeur?
Quand vous parlez d auto édition c est bien le fait de consulter un imprimeur directement (comme je souhaite le faire dans un premier temps)?
De plus je vois que vous êtes spécialisé dans les récits de vie et autobiographie, je m adresse donc la à votre expérience, pensez vous que ce soit gênant pour ce type d écriture que les « chapitres » ne se suivent pas forcément et que le livre n ai pas vraiment de chronologie?
(Mon récit s appuie beaucoup sur des ressenties, des émotions, mais aussi par la suite une analyse personnelle de la situation, aussi c est très difficile à mettre en ordre.)
Je vous remercie pour vos précieux conseils et ayant parcourue divers forum le votre est celui ou j ai pu trouver le plus de réponse et surtout une vraie humanité.J apprécie vraiment cette sensibilité et cette générosité qui transparaît dans vos écrits et réponses et c est ce qui me pousse aujourd hui à vous écrire…Je me sens vraiment perdue dans les abymes de l édition publication…pour accomplir ce projet et surtout clore définitivement ce douloureux passé.
Séverine.
Bonjour Séverine
Beaucoup de questions très intéressantes, je vais essayer de vous répondre. Merci d’abord pour votre témoignage sur l’écriture comme thérapie. Je pense que pour beaucoup d’entre nous, écrire ce que l’on a sur le cœur permet de se sentir plus léger.
Vous devez fournir à l’imprimeur un texte tapé à l’ordinateur mais sous le format PDF. Vous pouvez obtenir ce format automatiquement à partir du logiciel WOrd ou Open Office. Ce sera le premier fichier à remettre à l’imprimeur. Le deuxième fichier devra comporter la couverture recto et verso, toujours sous le format PDF. Vous trouverez de précieuses informations à ce sujet sur ce site :
En possession de tous ces éléments, l’imprimeur vous fera un vrai livre comme dans les librairies. Il vous suffira alors de lui envoyer vos fichiers non pas sur une clé USB mais directement par mail.
Je peux vous conseiller deux imprimeurs avec lesquels je travaille régulièrement, mais il y en a d’autres également sérieux :
http://www.impression-edition-gironde.com/imprimer/livre/impression-livre-en-ligne
https://www.sobook.fr/
Petite précision : je ne déconseille pas systématiquement les éditeurs à compte d’auteur, il y en a de très sérieux, mais cela a un coût parfois très élevé.
L’autoédition signifie que vous allez endosser le costume de l’éditeur. Autrement dit, vous ferez fabriquer quelques exemplaires de votre livre que vous vendrez vous-même après en avoir fait la promotion. Vous avez aussi la possibilité de diffuser votre livre sous forme numérique ou papier sur des sites internet comme Amazon.
Pour en savoir un peu plus sur l’autoédition, vous pouvez lire ces deux articles :
https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/autoedition-quelles-formalites-pour-publier-son-livre/
https://ecrire-un-livre.net/se-faire-publier/publier-sans-recourir-a-un-editeur/
Enfin concernant votre dernière question, il est important que votre livre soit structuré pour que le lecteur s’y retrouve. Cependant, vous n’êtes pas obligée de respecter la chronologie, votre plan peut également être thématique ou évènementiel. Exemples de plans thématique : mon enfance, mon métier, mes rencontres, mes passions, mes parents, etc.
J’espère avoir répondu à vos interrogations, le parcours peut sembler complexe mais le jeu en vaut la chandelle.
Patrick
Merci beaucoup pour votre réponse rapide et vos précieux conseils.
quand je parlais de chronologie et structure en réalité j ai fait des chapitres (un peu tel que vous me le suggerer) mais ce que je veux dire c est plutôt que comme c est un livre que j écris depuis plus de 15 ans (au fur et à mesure de mon besoin, car ce n est pas un livre pour remplir un livre mais juste un réel besoin à un moment d exprimer des choses que je n arrive à dire) les choses ont donc évoluées, tout comme moi et mes sentiments.Du coup je revient parfois sur des choses que j ai écrites il y a 15 ans pour exprimer comment aujourd hui je les vis.Il y a aussi également quelques pages écrites au début de ce livres très noires et très confuses (Car à ce moment j étais en grosse depression, incapable d organiser mes pensées) je ne veux pas supprimer mes écrits d avants car il me semblent importants pour expliquer justement ce long cheminement nécessaire pour pouvoir avancer, mais j ai peur que ça puisse sembler confus car du coup je ne sais pas vraiment ou mettre ces passages… (La confusion de ces passages très noirs par contre ne me dérange pas car elle traduit mon état d esprit à ce moment là, mais du coup avec cette évolution je pense que mon écriture et mon style ont changé également.C est peut être plutôt ça aussi mon problème, des passages écrits en état dépressifs et d autres écrits après un travail sur moi même qui me permet justement une analyse que je trouve importante.
De plus parfois j écris en m adressant à mon père ou à ma mère ou autres ( en general quand meme dans des chapitres qui leur sont dediés) et parfois je m adresse juste à un simple lecteur lambda (hypothetique).
Bref, je sais pas si j arrive à expliquer clairement mes doutes quand à la fluidité et la clarté de ce livre.
En tout cas je vous remercie encore pour votre aide.votre blog est très riche d informations et me permet à moi d y voir plus clair!!C est déjà un début!
J ai oublié une question importante pour l impression: quand on me demande combien de pages fait mon livre (par exemple pour un devis d impression) je dois compter des pages en quel format?(mon livre fait actuellement 240 pages environ, mais je l ai écrit sous world (j imagine format standard c est à dire un A4,mais par contre avec un gros interligne car j en ai imprimer un exemplaire pour pouvoir me relire et corriger entre les lignes. (Je préfère le papier pour ça ).Je peux déjà le remettre avec un interligne standard,mais l impression ne sera pas en A4 j imagine du coup je dois donner quoi comme nombre de pages? Desolé si j ai l air de rien comprendre…mais c est vrai que je vois beaucoup de gens parler de nombre de pages sur le forum mais ça me semble un peu abstrait…on parle en nombre de pages en format livre (et il existe différents formats) ou dans le format ou on l écrit? (Et la aussi j imagine qu il existe différents format et logiciel, bien que je ne connaisse que world, mes connaissances informatiques étant très limitées. ).
Merci d avance si vous pouvez m apportez quelques précisions à ce sujet.
Je vous conseille le format A5 (148X210), format standard pour les livres de poche. Prenez un interligne simple et une police de 12 ou 11.
Faites également la mise en page, en séparant les paragraphes et en commençant chaque nouveau chapitre sur une page impaire. Mais comme il y a beaucoup de choses à dire sur la mise en page, je vous conseille de cliquer sur le lien d’un imprimeur qui explique bien la marche à suivre :
Patrick
Bonjour Séverine
Si je vous comprends bien, votre récit a la forme d’un journal intime. En effet, comme vous le soulignez vous-même, l’intérêt d’un tel récit est de suivre votre évolution à travers les années.Précisez-le aux futurs lecteurs dans la préface. Sinon, je vous conseille de faire un plan chronologique qui permettra au lecteur de voir votre cheminement, année après année. De cette manière, je pense pas que le lecteur sera perdu; au contraire, il y trouvera de l’intérêt.
Patrick
Merci beaucoup Patrick pour tout ces précieux conseils qui me sont très utiles et me permettent d avancer et de concrétiser un peu plus ce projet. J ai commencé à retravailler mon récit pour la mise en page et les chapitres et vos réponses m ont beaucoup aidé.
Séverine.
Bonjour Patrick
Je découvre votre site et j’avoue que je n’ai pas eu le courage de lire la totalité des échanges (il y en a beaucoup). J’ai écrit un livre de 200 pages (sous pseudonyme). Il s’agit d’un roman fantastique sur la lutte entre le bien et le mal. Pourriez vous me conseiller des éditeurs à la ligne éditoriale adaptée ? Par ailleurs je tiens mon manuscrit à votre disposition ou à celle de vos visiteurs pour recueillir éventuellement vos remarques.
Bien amicalement et excellente année 2016
Jean-Michel
Bonjour Jean-Michel
La solution la plus adaptée serait de vous rendre dans une librairie ou une bibliothèque à la recherche d’ouvrages qui abordent le même thème que le vôtre, il vous suffit alors de noter le nom des éditeurs et vous aurez ainsi votre sélection d’éditeurs. Pour ma part, je n’ai malheureusement pas suffisamment de temps pour lire votre manuscrit, mais j’espère que des lecteurs pourront répondre à votre demande.
Patrick
Aussi , si on a une carte comment faisons nous pour la donner à l’éditeur ? On la donne normalement comme on l’a fait à main nu ?
Bonjour
Merci pour votre message, mais qu’entendez-vous par carte ? Pouvez-vous me préciser votre question ?
Patrick
Une carte comme dans le seigneur des anneaux ou le trône de fer , une carte pour se repérer comme c’est dans un monde parallèle .
Valère
Bonjour Valère
Si vous ne pouvez pas envoyer votre carte par mail, envoyez-la par courrier en indiquant bien qu’elle se réfère à votre roman.
Patrick
Bonjour Patrick,
J’ai quelques questions concernant les droits de l’écrivain sur son livre.
1° Quels sont ses droits ?
2° Quels est le rôle de la maison d’édition, et est-ce elle qui a tous les droits sur le livre ?
3° Combien de temps la maison d’édition a t’elle ces droits, est-ce une clause qui diffère a chaque contrats entre l’auteur et l’éditeur, ou y a t’il une durée imposée ?
4° Combien de temps y a t’il a attendre avant que le livre ne tombe dans le domaine publique ?
J’ai vu a quel point vos réponses étaient précises et complètes, je fais une recherche sur le droit d’adaptation de livres au cinéma, et je trouve qu’il n’y a pas grandes informations a se mettre sous la dent sur internet quand on ne maîtrise pas le sujet de l’édition.
Merci
Cordialement
Arthur L.
Bonjour Arthur
Que de questions auxquelles je ne pourrai pas répondre.En effet, tout dépend du contrat signé entre l’éditeur et l’auteur. Je peux cependant répondre sur le rôle d’une maison d’édition à compte d’éditeur : fabriquer le livre, en faire la promotion sous différentes formes et, bien sûr, le mettre concrètement à la disposition du public par l’intermédiaire des libraires ou par d’autres moyens. L’auteur est rémunéré en recevant un pourcentage sur chaque vente (généralement entre 7 et 10%).
Pour répondre à votre question sur le domaine publique : La durée des droits d’auteur en France est la vie de l’auteur plus soixante-dix ans après sa mort. Les 70 ans se calculent à partir du 1er janvier de l’année qui suit la date du décès de l’auteur et se compte en années civiles entières. La durée de la protection littéraire et artistique est la même pour toutes les œuvres : texte, images, dessins, musique etc.
Patrick
Bonjour,
je ne dit pas que les conseils relaté ici ne sont pas bon ni mauvais, mais dans mon cas
j’ai écrit et publier seul mon livre…et gratuitement en plus.
Pour cela je me suis offert un macbook pro avec le logiciels ebook author, j’ai choisi ma mise en page, graphisme et j’ai tapé mon texte, tous d’abord en version EBOOk (pdf) pour pc et mac ensuite j’ai repris le texte et l’ai formaté pour gsm, iPad et iPhone et ensuite je l’ai mis en vente sur apple store a bas prix et sa a porté ses fruits…
Merci pour ce témoignage et bravo.
Patrick
Bonsoir,
Je viens de découvrir votre site et j’apprécie beaucoup votre patience. J’ai presque 60 ans et suis originaire des Comores, un archipel situé dans l’Océan Indien. J’ai écrit un livre de cuisine comorienne et souhaiterais qu’il soit édité. Je ne connais pas la procédure à suivre: à qui dois-je m’adresser, mise en page, édition… Il comprend une centaine de recettes et plusieurs photos.
Je vous remercie d’avance pour vos conseils
Mariama.
Bonjour Mariama
Je ne suis jamais allé aux Comores mais je sais que c’est un magnifique pays où le soleil brille. Concernant votre livre de recettes, la façon de procéder dépend du type d’édition que vous allez choisir. Si vous vous adressez à un éditeur à compte d’éditeur, c’est lui qui prendra en charge sans vous demander d’argent la mise en page et la fabrication de votre ouvrage. Vous n’aurez juste qu’à lui remettre le texte et les photos. Même chose pour l’éditeur à compte d’auteur, il pourra se charger de tout mais, contrairement à l’éditeur à compte d’éditeur, la note risque d’être salée. Si vous pratiquez l’autoédition, c’est à vous de mettre en page et de faire imprimer votre ouvrage. Si vous souhaitez faire un beau livre avec une belle mise en page (ce qui est souvent le cas des livres de recettes), il faudra que vous vous adressiez à un graphiste professionnel. L’imprimeur pourra probablement vous fournir des adresses, car les imprimeurs font souvent appel à ce type de professionnel.
Patrick
Merci pour ces précieux conseils.
Il est temps pour moi de savoir ce que vaut réellement mon projet.
Bonsoir,
J’ai écrit un petit livre (de 6 pages) pour la petite enfance, avec quelques dessins. Ce qui fait qu’il n’y a pas grand chose à lire.
Pouvez-vous me conseiller sur les éditeurs spécialisés dans ce genre de texte.
Je vous remercie d’avance pour votre réponse
Lita
Bonjour Lita
Je ne veux pas vous décevoir, mais un livre de six pages a peu de chance de trouver un éditeur quelque soit sa qualité.
Pour trouver un éditeur, voici généralement mes conseils : rendez-vous dans une librairie ou dans une bibliothèque et partez à la recherche des livres qui ressemblent au vôtre. Vous notez alors le nom des éditeurs quitte à vous rendre ensuite sur leurs sites pour en savoir un peu plus sur eux. Aujourd’hui la plupart des éditeurs possèdent un site internet. Au lieu d’aller dans une librairie, vous pouvez aussi faire des recherches sur Amazon à la rubrique livres, sur internet.
Patrick
Bonjour,
Je suis la mère de deux jeunes filles allumées qui travaillent très fort à la creation d’un premier roman. Elles ont quelques questions à vous poser:
1. Y a-t-il un âge minimum pour publier un livre?
2. Publiez-vous des livres jeunesses?
3. Comment trouver un éditeur de confiance pour de jeunes auteures?
Merci beaucoup, mes filles seraient très contentes de recevoir une réponse.
Bonjour Catherine
Bravo aux jeunes filles allumées !
1- Non, heureusement, il n’y a pas d’âge minimum pour publier un livre. Pour les personnes mineures, il faut juste l’accord des parents.
2- Non, je ne publie pas de livres de jeunesse pour la simple raison que je ne suis pas éditeur. J’aide simplement les personnes à écrire des récits de vie.
3- La plupart des éditeurs à compte d’éditeur sont des éditeurs de confiance. Je vous conseille de vous rendre dans une librairie à la recherche d’ouvrages qui sont assez semblables avec celui de vos filles et de noter le nom des éditeurs. Ensuite, vous pouvez vous rendre sur le site de ces éditeurs (presque tous ont un site internet aujourd’hui) pour en savoir plus sur la ligne éditoriale de l’éditeur. Vous trouverez également sur le site des coordonnées téléphoniques ou une adresse mail. Ainsi vous pourrez l’interroger sur le genre de tapuscrits qu’il accepte.
Patrick
Bonjour à tous,
C’est avec plaisir que j’observe vos enthousiasmes, avec des sujets très différents. Je ne pourrais que vous encourager à aller de l’avant, à nourrir votre inspiration pour qu’elle soit fertile et féconde, à tout âge !
Patrick donne d’excellents conseils parfaitement convergents avec mes propres expériences. La recherche d’un éditeur s’apparente de prime abord à une « mission impossible ».
Et pourtant, par un travail de recherche préalable, vous faites déjà la moitié du chemin : épluchez les livres déjà publiés dans les librairies ou sur internet, identifiez les éditeurs de ces ouvrages, faites-vous un tableau de synthèse, recoupez les informations puis progressivement éliminez ceux qui vous semblent les moins appropriés. A l’issue de ce travail (qui m’a pris environ 6 mois) j’ai conservé 5 éditeurs.
Puis j’ai bien étudié ces 5 : localisation, effectifs, genres de publication, relation avec leurs auteurs, réputation… et mes propres attentes.
– Qu’est-ce que j’attends de mon éditeur ?
– Quel type de contrat je veux signer avec lui ?
– Dans quelle mesure je peux m’impliquer dans la promotion de mon livre ?
Au final, au clair avec mes attentes et leurs possibilités, j’ai jeté mon dévolu sur trois. Avec lesquels j’ai pris contact directement et personnellement.
Pour chacun de mes ouvrages, l’un de ces trois éditeurs m’a publié.
Comme j’ai publié des livres très différents, je travaille avec trois éditeurs distincts. Ensuite la relation n’est pas forcément simple, elle est avant tout humaine et nécessite de composer avec les qualités et les défauts de chacun (les siens et les leurs !).
Un élément important à prendre en compte est la disponibilité de l’ouvrage. Certains éditeurs ne sont pas intéressés pour investir dans la durée. Un livre se vend (ou pas) rapidement… puis ils passent à autre chose.
Mes éditeurs sont petits, relativement spécialisés, mais 15 ans plus tard je peux toujours encore leur commander des exemplaires de mon livre, que je vends également directement. Dans notre société de l’éphémère et de la consommation, cet élément m’a paru important.
Bon courage à tous, lancez-vous dans cette prodigieuse aventure !
Bonjour Sophie
Merci pour ce témoignage très encourageant pour les futurs auteurs.
Patrick
si vous cherchez de nouveaus auteurs, on en trouve quelques uns sur http://www.secretwriters.fr/
c’est un site participatif de feedback de manuscrits.
Et n’oublions pas les règles de base du monde de l’édition, qu’il faut impérativement respecter sous peine de se voir écarté sans même être lu : http://www.concoursnouvelles.com/mise-en-forme
Merci Joana pour ces infos.
Patrick
Bonjour,
J’ai 17 ans et j’ai écrit un livre (manuscrit), pensez-vous que quelqu’un voudrais bien éditer mon livre malgré mon jeune âge ?
Bonjour Lilou
Il n’y a pas d’âge pour publier un livre. Souvenez-vous que Françoise Sagan n’a que 18 ans lorsqu’elle publie son premier roman : »Bonjour tristesse », roman qui eut un très grand succès.
Alors, tentez votre chance vous aussi, poussez la porte des éditeurs, elle finira bien par s’ouvrir si vous êtes réellement motivée, ce que je crois.
Patrick
Bonsoir, ayant décidé d’écrire un ouvrage sur le Feng Shui il y a un mois, je cherchais ce soir des conseils pratiques, je viens de trouver en premier lieu votre site ainsi que le lien de Joana, tout est très clairement expliqué. Merci infiniment pour cette aide et heureuse continuation
Bonjour Caroline
Merci à vous pour votre commentaire et bonne route dans le monde de l’écriture.
Patrick
Je vois que vous regardez toujours ce blog, alors je me lance :
J’ai 14 ans, je me suis lancé dans l’écriture quand j’avais seulement 10 ans, j’ai énormément d’inspiration, j’ai décidé de me lancer dans un véritable roman, un roman plutôt fantastique, j’ai commencé au début du mois de Mars, actuellement je suis arrivé à 160 pages environ, il reste encore 150/200 pages. Je commence déjà à me renseigner à peu près, pour savoir où est-ce que je pourrais le publier, si je pourrais avoir des conseils ça m’arrangerait. Mon histoire, celle-ci, me tient particulièrement à cœur, je la relis chaque soir depuis le début pour trouver les erreurs à corriger, alors que je devrais avoir d’autres priorités. J’aimerais l’envoyer à plusieurs éditeurs à partir du mois de Juillet. Je ne sais pas si j’ai était extrêmement clair. En bonus, un petit résumé de mon histoire ( J’ai déjà mis en place le schéma narratif des plusieurs chapitres, mais je rajoute des choses au fil de mes pensées et à la vue de mon avancé ) :
L’histoire se passe autour de l’an 700, Un royaume, divisé en deux peuples ennemis.Les Oeswalds et les Balkens. Les Oeswalds luttent pour le bien, les Balkens sont plus du côté du mal. Un jour, le roi des Balkens demanda aux mages les plus puissants de la terre ( des Oeswalds ) d’aller chercher les quatre morceaux de la pierre de Résurrection, qui sont éparpillés aux quatre coin de l’univers. Pour partir, les quatre Oeswalds profitèrent de la technologie très avancée des Balkens ! ( Je rajoute que l’explication de pourquoi une technologie avancée seulement en l’an 700, je la réserve pour la toute fin, et ce sera l’objet du deuxième opus s’il y en à un )
Dans l’espace, ils seront confrontés à pleins de défis, ils trouveront un cinquième coéquipier. Puis trois alliés qui les aideront pour le combat final, qui se déroulera sur Terre…
En attendant une réponse ^^’
Bonjour Tom
Bravo pour votre imagination. Vous tenez là un beau projet, mais ne le divulguez pas trop avant de l’avoir publié.
Pour trouver un éditeur intéressé par votre futur livre, le mieux est d’aller dans une librairie et de repérer les livres qui traitent du même thème que le vôtre. Dans votre cas, c’est la littérature fantastique, SF. Vous notez le nom des éditeurs, vous vous rendez ensuite sur leur site internet et vous vous informez sur les démarches à effectuer pour leur envoyer votre manuscrit. Vous pouvez le faire aussi sans vous déplacer en vous rendant sur le site de la librairie virtuelle Amazon :
Amazon
Bonne publication à vous.
Patrick
Je vous remercie beaucoup de votre réponse, je vais faire comme vous me dites, j’espère réussir dans la littérature pour pouvoir gravir les échelons, j’aimerais devenir scénariste plus tard, c’est un objectif, mais je pense que je devrais faire mes preuves à travers des romans de différents styles, j’ai déjà des idées qui me viennent pour de futurs projets.
Bonjour Tom
Gardez votre bel enthousiasme, la motivation est un élément essentiel dans la réalisation de projets.
Je vous souhaite de réaliser votre rêve.
Patrick
Avec vos conseils, je pourrais publier mon livre un peu plus sereinement, bon reste le probléme de l’age.
Bonne publication et n’oubliez pas qu’il n’y a pas d’âge pour publier un livre !
Patrick
Bonjour (ou bonsoir).
J’ai lu tes conseils plus haut, et ça m’intéresse beaucoup. Mais le problème, c’est que je ne suis qu’une fille de 14 ans. Oui, je sais ça peut te paraître ridicule, mais j’écris un roman depuis 2 ans, et j’ai déjà fini le tome 2. Au début j’écrivais pour le plaisir et pour passer le temps, maintenant j’ai décidé avec mes parents de publier mon livre. Donc une question, à 14 ans on peut se faire éditer ou c’est impossible?
J’attends ta réponse le plus tôt possible.
Bonjour Lyna
Il n’y a pas d’âge pour publier un livre. Si vous n’avez pas la majorité, il vous faudra simplement l’autorisation de vos parents. Ce sont eux qui signeront votre contrat avec l’éditeur. L’éditeur René Julliard a édité des poèmes de Minou Drouet en 1956, alors qu’elle n’avait que huit ans. Certaines personnes prétendent que ces poèmes n’ont jamais été écrits par elle, mais par sa belle-mère, mais cela c’est une autre histoire.
http://www.sabinesicaud.com/infos-et-documents/autres-informations/242-laffaire-minou-drouet.html
Patrick
bonjour
jai 11 ans je voulais savoire si il y a un age pour faire editer mon premier livre.je voudrais aussi savoirs si ont dois fair imprimer notre manuscrit ou ont nest pas oubliger de limprimer. pouvez vous me repondre au plus vite merci
Bonjour Sabrina
Non, rassures-toi, il n’y a pas d’âge pour publier un livre, il faut juste l’accord de tes parents.
Généralement c’est l’éditeur qui se charge d’imprimer ton livre sauf si tu l’édites toi-même (autoédition). Mais il faut que ton texte soit tapé sur un ordinateur avant de le présenter à un éditeur ou à un imprimeur. J’espère avoir répondu au plus vite. Plein de succès pour toi !
Patrick
Bonjour Patrick,
cela fait maintenant 3 ans que je travaille sur une histoire de fiction auquelle j’attache beaucoup d’importance (je l’ai commencé à 15 ans). Il s’agissait au départ d’un passe-temps jusqu’à ce que plusieurs personnes de mon entourage ne m’encourage à publier mon roman. AUjourd’hui j’ai finis le tome 1 et j’ai déjà la suite de l’histoire que devrait encore faire 2 tomes supplémentaires. Mon seul problème est que je ne trouve pas de titre à mon roman. Auriez-vous quelques conseils à me donner?
J’ai écris ce roman en format poche, car je trouve qu’ainsi la lecture est plus plaisante. Chaque chapitre fait alors entre 7 et 10 pages en moyenne. Devrais-je changer ce format pour l’envoyer à un éditeur?
Certaines personnes m’ont dit que les éditeurs n’aimaient pas les livres trop longs. Le mien fait 580 pages. Est-ce trop?
Bonjour Ilona
1) Pas facile de vous donner des idées de titre sans connaître le contenu de votre roman. Je vous conseille de regarder cette vidéo :
https://www.youtube.com/watch?v=Qk0vV-BWaNc&index=9&list=PLHsW5QCXec2IKQqhgvD948RAINrcJktRB
2) Le mieux est d’envoyer votre tapuscrit à un éditeur sur un format A4 avec un interligne de 1,5.
Si votre roman plaît à l’éditeur, peu importe sa longueur. Peut-être vous demandera-t-il de le réduire ou d’en faire plusieurs tomes.
Patrick
Bonjour Patrick
J’ai parcouru pratiquement tous lea commentaires de votre blog. De très précieux conseils.
Je suis en train d’écrire mon deuxième roman une histoire fantastique/thriller qui devrait contenir 2 tomes.Le premier est presque terminé. La fin sera évidemment ouverte.
Ma question est la suivante : est il préférable d’écrire déjà le deuxième tome avant de proposer le premier a un editeur?
Si non est-ce qu’un synopsis racontant le deuxième tome peut suffire lors de l’envoi du premier ?
Si oui lorsque j’enverrai les deux tomes et si ils sont acceptés, seront-ils édités en même temps sans délai entre eux ?
Merci pour votre aide
Ps mon premier roman fantastique/thriller va être édité à compte d’éditeur à la fin de l’année chez Fantasmagorie …alors les gens ne perdez pas espoir !
Bonjour Luna
N’attendez pas d’avoir écrit le deuxième tome pour présenter le premier à un éditeur. Cela sera largement suffisant pour qu’il puisse avoir un avis sur votre œuvre. C’est une très bonne idée de joindre un synopsis ou du moins un résumé pour le second tome.
Je ne pense pas qu’ils seront édités en même temps, l’éditeur préfèrera laisser le suspense.
Mais si vous avez déjà un éditeur comme vous le signalez, pourquoi ne pas lui poser la question directement ?
Patrick
Bonjour,
Je souhaite avoir la chance de faire un petit livre sur une maladie que je me bas depuis 1 ans environ cette maladie et très rares environ en France un français sur 200.000 attrape cette maladie et j’en fait parti.
Je souhaite aussi que cette maladie sois reconnus et intéressant à lire je ne sais pas comment faire merci de bien m’aider au plaisir
Bonjour
Je comprends parfaitement l’importance de votre projet d’écriture. Cela vous permettra d’apporter votre témoignage sur cette maladie très rare et de déposer sur le papier des choses lourdes à porter. N’hésitez pas à parcourir mon blog, vous y trouverez de nombreux conseils concernant l’écriture d’un livre.
https://ecrire-un-livre.net/category/conseils-pour-ecrire/
Bien entendu si vous avez une question précise concernant votre projet d’écriture, n’hésitez pas à me la poser, j’y répondrai avec plaisir.
Patrick
Bonjour,
merci pour tous vos conseils.
J’aimerais savoir si il est préférable que le tapuscrit soit imprimé recto-verso ou seulement recto.
Merci d’avance
Bonjour Florent
Imprimez votre tapuscrit uniquement sur le recto.
Patrick